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PEONE

- Localisation : VALLEE DU CIANS
- G.P.S. : N 44º 06.991' - E 6º 54.404'
- countea de Nissa : PEOUNO
- Communauté : Communauté de Communes de Cians Var
- Altitude : 1201 mètres (mairie)
- Distance de la Place Masséna à Nice : 93 kilomètres
- Trajet : D 6202, D 28, D 29.
- Habitants : 820, (Les Péoniens)
- Mairie : 06470 PEONE -
  Tél: 0 899 786 811 (1,35 ?/appel + 0,34 ?/min)

- Musées :
- Office du Tourisme : Centre Administratif, place Charles Ginesy, 06470 VALBERG -
  Tél: (+33)04 93 23 24 25

PEONEA 100 kilomètres de Nice, Péone est, au confluent du Tuébi (affluent du Var à Guillaumes) et de l'Aigue Blanche, un village du parc du Mercantour, perché à 1172 mètres d'altitude.
Le village est blotti au pied de « cargneules », roches ruiniformes surnommées « Demoiselles » ou « Pénitents », et au sein desquelles était bâti en 1200, l'ancien château dépendant de la baronnie de Beuil.
Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

A la fin de ses activités artisanales et d'élevage, en 1936, le village reconvertit ses alpages du « Quartier », à 1700 mètres d'altitude, en y créant de toute pièce, une station de sports d'hiver, Péone-Valberg, située à moins d'une dizaine de kilomètres.

Comme de nombreux villages du Comté de Nice, les lieux étaient occupés par le peuple « ligure » ; Péone voit sa naissance vers le XIème siècle, et est rattaché, comme Beuil, à la viguerie de Puget Théniers. C'est le souverain du Comté de Provence (alors rattachée au Comté de Barcelone), Raymond Bérenger, qui aurait repeuplé le village en y installant des familles d’origine catalane vivant à Barcelonnette, (voir la chronologie du Comté de Nice).
Au château de Péone, en 1388, lors de la dédition du Comté de Nice à la Savoie, Jean Grimaldi de Beuil, reçoit au nom du Comte de Savoie, l’hommage et le serment de fidélité des communautés du val d’Entrailles.
(Photo d'après un panneau explicatif du village)

 


PEONE
- 01 - PEONE - VUE GENERALE


A propos de la photo 01 :

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PEONE
VUE GENERALE

Péone est, au confluent du Tuébi (affluent du Var à Guillaumes) et de l'Aigue Blanche, un village du parc du Mercantour, perché à 1172 mètres d'altitude.
Le village est blotti au pied de « cargneules », roches ruiniformes surnommées « Demoiselles » ou « Pénitents », et au sein desquelles était bâti en 1200, l'ancien château dépendant de la baronnie de Beuil.

 

 


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- 02 - PEONE - VUE GENERALE


A propos de la photo 02 :

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VUE GENERALE

Péone est, au confluent du Tuébi (affluent du Var à Guillaumes) et de l'Aigue Blanche, un village du parc du Mercantour, perché à 1172 mètres d'altitude.
Le village est blotti au pied de « cargneules », roches ruiniformes surnommées « Demoiselles » ou « Pénitents », et au sein desquelles était bâti en 1200, l'ancien château dépendant de la baronnie de Beuil.
. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés caractérisent l'habitat montagnard médiéval du village.

 

 


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- 03 - PEONE - VUE GENERALE


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PEONE
VUE GENERALE

Péone est, au confluent du Tuébi (affluent du Var à Guillaumes) et de l'Aigue Blanche, un village du parc du Mercantour, perché à 1172 mètres d'altitude.
Le village est blotti au pied de « cargneules », roches ruiniformes surnommées « Demoiselles » ou « Pénitents », et au sein desquelles était bâti en 1200, l'ancien château dépendant de la baronnie de Beuil.
Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés caractérisent l'habitat montagnard médiéval du village.

 

 


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- 04 - PEONE - LES « DEMOISELLES »


A propos de la photo 04 :

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LES « DEMOISELLES »

Le village est blotti au pied de « cargneules », roches ruiniformes surnommées « Demoiselles » ou « Pénitents », et au sein desquelles était bâti en 1200, l'ancien château dépendant de la baronnie de Beuil.

 

 


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- 05 - PEONE - LES « DEMOISELLES »


A propos de la photo 05 :

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LES « DEMOISELLES »

Le village est blotti au pied de « cargneules », roches ruiniformes surnommées « Demoiselles » ou « Pénitents », et au sein desquelles était bâti en 1200, l'ancien château dépendant de la baronnie de Beuil.
Au centre, la chapelle des pénitents Blancs a été restaurée et convertie en salles d'expositions et d'ateliers pédagogiques en 1982. A gauche, le pont sur le vallon de de l'Aigue Blanche.

 

 


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- 06 - PEONE - LES MAISONS DU VILLAGE


A propos de la photo 06 :

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LES MAISONS DU VILLAGE

Les anciennes fermes sont devenues des habitations et résidences secondaires, depuis la création, en 1936, de la station de sports d'hiver de Péone-Valberg, à une huitaine de kilomètres du village.

 

 


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- 07 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 08 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


A propos de la photo 08 :

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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 09 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


A propos de la photo 09 :

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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 10 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 11 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


A propos de la photo 11 :

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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 12 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


A propos de la photo 12 :

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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 13 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


A propos de la photo 13 :

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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 14 - PEONE - PLACE THOMAS GUERIN


A propos de la photo 14 :

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PLACE THOMAS GUERIN

« Les façades de cette place présentent la particularité d’être enduites à la chaux. Les couleurs employées dans l’architecture de la vallée du Var relèvent principalement des matériaux utilisés, souvent locaux, que sont le calcaire blanc, gris ou beige, le grès, le tuf ou le schiste. Les murs sont en outre hourdés à l’aide d’un mortier à la chaux dont la teinte varie, selon les sables entrant dans sa composition, du gris-beige au rosé en passant par le brun et l’ocre.
Cette place porte le nom de Thomas Guérin, en hommage à la générosité d’un jeune péonien, qui fit de Péone la première paroisse du diocèse de Glandèves à posséder une école pour jeunes filles. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 15 - PEONE - LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS


A propos de la photo 15 :

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LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS

La chapelle des pénitents Blancs a été restaurée et convertie en salles d'expositions et d'ateliers pédagogiques en 1982.

 

 


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- 16 - PEONE - LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS


A propos de la photo 16 :

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LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS

La chapelle des pénitents Blancs a été restaurée et convertie en salles d'expositions et d'ateliers pédagogiques en 1982.

 

 


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- 17 - PEONE - LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS


A propos de la photo 17 :

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LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS

La chapelle des pénitents Blancs a été restaurée et convertie en salles d'expositions et d'ateliers pédagogiques en 1982.

 

 


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- 18 - PEONE - EGLISE PAROISSIALE SAINT VINCENT


A propos de la photo 18 :

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EGLISE PAROISSIALE SAINT VINCENT

« Initialement placée sous le vocable de Saint Jacques, l’édifice paroissial se voit doté au cours des siècles d’un second patron : Saint-Arige. En 1555, l’église médiévale est reconstruite par les Grimaldi de Beuil. En 1761, l’édifice est agrandi et transformé, la travée centrale recevant la nouvelle porte d’entrée alors que le mur nord est percé afin de recevoir le nouveau maître-autel.
L’intérieur du bâtiment est décoré en style baroque pour les chapelles latérales, et néoclassique, pour la coupole.
La construction initiale du campanile accolé à la façade date de 1757. Après le don, en 1726, de reliques de Saint-Vincent, l’église est placée sous le double vocable Saint-Arige et Saint-Vincent. Ce dernier saint est fêté par les péoniens le dernier dimanche d’août, jour de la translation de ses reliques dans le village. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 19 - PEONE - EGLISE PAROISSIALE SAINT VINCENT


A propos de la photo 19 :

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EGLISE PAROISSIALE SAINT VINCENT

« Initialement placée sous le vocable de Saint Jacques, l’édifice paroissial se voit doté au cours des siècles d’un second patron : Saint-Arige. En 1555, l’église médiévale est reconstruite par les Grimaldi de Beuil. En 1761, l’édifice est agrandi et transformé, la travée centrale recevant la nouvelle porte d’entrée alors que le mur nord est percé afin de recevoir le nouveau maître-autel.
L’intérieur du bâtiment est décoré en style baroque pour les chapelles latérales, et néoclassique, pour la coupole.
La construction initiale du campanile accolé à la façade date de 1757. Après le don, en 1726, de reliques de Saint-Vincent, l’église est placée sous le double vocable Saint-Arige et Saint-Vincent. Ce dernier saint est fêté par les péoniens le dernier dimanche d’août, jour de la translation de ses reliques dans le village. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 20 - PEONE - EGLISE PAROISSIALE SAINT VINCENT


A propos de la photo 20 :

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EGLISE PAROISSIALE SAINT VINCENT

« Initialement placée sous le vocable de Saint Jacques, l’édifice paroissial se voit doté au cours des siècles d’un second patron : Saint-Arige. En 1555, l’église médiévale est reconstruite par les Grimaldi de Beuil. En 1761, l’édifice est agrandi et transformé, la travée centrale recevant la nouvelle porte d’entrée alors que le mur nord est percé afin de recevoir le nouveau maître-autel.
L’intérieur du bâtiment est décoré en style baroque pour les chapelles latérales, et néoclassique, pour la coupole.
La construction initiale du campanile accolé à la façade date de 1757. Après le don, en 1726, de reliques de Saint-Vincent, l’église est placée sous le double vocable Saint-Arige et Saint-Vincent. Ce dernier saint est fêté par les péoniens le dernier dimanche d’août, jour de la translation de ses reliques dans le village. »
, (d'après une plaquette de l'office de tourisme).

 

 


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- 21 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 21 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 22 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 22 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 23 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 23 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 24 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 24 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 25 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 25 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 26 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 26 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 27 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 27 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 28 - PEONE - LES RUES MEDIEVALES


A propos de la photo 28 :

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LES RUES MEDIEVALES

Les maisons construites de calcaire, grès ou encore de schiste, sont recouvertes d'un enduit à la chaux qui donne leurs teintes variées, allant du beige au rosé. Les ruelles étroites, le plus souvent en escalier, en passages étroits et voutés sont les caractéristiques d'un habitat montagnard médiéval.

 

 


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- 29 - PEONE - VALLEE DE L'AIGUE BLANCHE


A propos de la photo 29 :

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VALLEE DE L'AIGUE BLANCHE

L'Aigue Blanche est un affluent du Tuébi ; le confluent est au pied du village.

 

 


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- 30 - PEONE - VALLEE DU TUEBI


A propos de la photo 30 :

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VALLEE DU TUEBI

Affluent du Var, la vallée remonte vers la station de Péone-Valberg, créée en 1936.

 

 


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