LE COMTE DE NICE
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LES SITES DE NICE :
Baie des Anges
Cemenelum (Cimiez)
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La Baie des Anges

La Baie des AngesLa Baie des Anges s’étend du port de Nice à L’aéroport Nice Côte d'Azur. Le Paillon et le Magnan s’y jettent.
Ce seraient des pêcheurs qui ont baptisé ainsi la baie. En effet, ils ramenaient dans leurs filets une espèce de requin inoffensif, vivant sur les fonds marins et dont les ailerons ressemblent à des ailes.
D’autres évoquent que lorsque l'embarcation contenant le corps de Sainte Réparate atteignit les côtes niçoises, elle fut ramenée sur le rivage par des anges. Sainte Réparate est une sainte chrétienne, patronne de Florence ainsi que de Nice. Sa fête est le 8 octobre.
Le poète Alexis de Jussieu a publié en 1856 un poème «Adam et ève», par lequel il nous apprends qu'Adam et Eve, après avoir été chassés du paradis terrestre, furent conduits sur ces rivages par des anges, et que la beauté de ce pays le faisait égaler à leur paradis perdu.

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CEMENELUM

CEMENELUMLa cité de Cemenelum (Cimiez) date du premier siècle après Jésus Christ ; la région était alors occupée par les ligures ; ceux-ci sont vaincus par l'Empereur Auguste qui a fait ériger le «trophée des Alpes» à La Turbie, en l'an VI avant Jésus Christ ; Il symbolisait la victoire et la puissance de Rome.
C’est à proximité de la voie Julia, reliant l’Italie à l’Espagne, que la cité voit le jour au pied d’une colline occupée par les védiantiens, (tribu ligure). Elle connaîtra son heure de gloire au IIIe siècle avec la construction des thermes et de l’amphithéâtre dont les ruines constituent le site archéologique de Cimiez. Au IVème siècle, avec le déplacement de la capitale à Embrun, Cemenelum décline. La population se regroupe sur le site de la Colline du Château.
Pour en savoir plus : le site officiel du : musée archéologique

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LE COMTE DE NICE

ArmoiriesLe Comté de Nice était une province créée en 1388, dépendant administrativement du duché de Savoie, jusqu’à son rattachement à la France en 1860.
Le mot «comté» provient de l'italien «contado», qui désigne une «campagne» ou un «comtat» au sens administratif du mot. Le terme de «pays niçois», est aussi quelquefois utilisé.

Voir un aperçu de l'histoire du Comté de Nice.

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LA CÔTE D'AZUR

LA CÔTE D'AZURLa Côte d'Azur est le littoral méditerranéen entre Hyères et Menton. Le département des Alpes-Maritimes est dominé par les Alpes du Sud, dont les sommets culminent à près de 3000 mètres.
Nice, avec ses 348 000 habitants est la capitale azuréenne. Son aéroport International est le second de France après Paris ; Nice est également le pivot de la Communauté d'agglomération de Nice-Côte d'Azur qui regroupe les 500 000 habitants de ses 24 communes.
C’est la publication du livre «La Côte d'Azur» de Stéphen Liégeard, en 1887, qui a lancé le terme de «Côte d’Azur». Par contre, les anglais préfèrent parler de «Riviera» ou de «French Riviera», appellation italienne.

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LE FORT DU MONT ALBAN

LE FORT DU MONT ALBANAu XVIème siècle, Nice est une place importante dans la défense du duché de Savoie, face aux turcs, alliés des Français depuis 1543 (siège de Nice).
En 1557, Emmanuel Philibert, Duc de Savoie, fait construire un fort sur le Mont Alban à partir des plans de l'architecte Domenico Ponsello. De son sommet, à 220 mètres d’altitude, la surveillance peut se faire depuis les confins italiens, jusqu’à l’Estérel, en passant par la rade de Villefranche sur Mer et la Baie des Anges.
Les murs d'enceinte et les fossés subsistants ont été classés monuments historiques en 1913.

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LA PLACE GARIBALDI

LA PLACE GARIBALDILa place est baptisée du nom du héros de l’unité italienne, Garibaldi, en 1871.
C’est entre 1782 et 1792 qu’elle est construite sous le nom de place Victor, en l’honneur du roi de Sardaigne, Victor Amédée III, son initiateur. Elle est l’aboutissement de la voie royale qui relie Nice à la capitale, Turin ; les maisons à arcades, de tradition niçoise, sont édifiées sur le modèle de celles de Turin, de couleur «biglio d’olio di noce» le gris-beige de l’huile de noix. La chapelle du Saint Sépulcre des pénitents Bleus y est érigée dans le style baroque.
En 1860, lors du rattachement de Nice à la France, les activités commerciales avec Turin, diminuèrent fortement, mais la place devient un lieu privilégié de l’identité niçoise, grâce à ses attaches avec la vieille-ville et les activités du port Lympia.

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