LE COMTE DE NICE
EN IMAGES
Retour à la page d'accueil

VOIR LES PHOTOS
DU COMTE DE NICE :
UN PEU D'HISTOIRE
NAVIGUER
AUTREMENT
LA PHOTO
DU JOUR
Voir la photo agrandie
NOTES SUR...
Les sites de Nice
Les parcs et jardins
Les bâtiments et architecture
Les femmes et les hommes
Les villes et villages du Comté
Histoire, objets et traditions


BATIMENTS, ARCHITECTURE :
Base Aérienne 943
Chapelle Saint Hospice
Citadelle Saint Elme
Eglise du Vœu
Eglise Notre-Dame
Eglise Saint François de Paule
Eglise Saint Augustin
Fontaine du Soleil
Fort de la Revère
La Treille
Monastère de Cimiez
Monument aux Morts
Musée Matisse
Palais Communal
Port Lympia
Tête Carrée
Tour Bellanda
Usine de Super Rimiez
Villa Masséna


Ces pages en cours de rédaction seront amenées à être complétées et modifiées...
A suivre...

Choisir une note dans la liste de gauche
ou
Retourner à la page d'accueil

En savoir plus sur...
La Base Aérienne 943 du Mont Agel

Base Aérienne 943Sur le territoire de la commune de Peille, le Centre de Détection et de Contrôle 05.943 est une unité opérationnelle de l'armée de l'air, installé sur le plateau culminant à 1150 mètres, au sommet du Mont Agel. Il est responsable de la surveillance de l'espace aérien situé dans la partie sud-est du territoire national et de ses approches. Il est également chargé du contrôle de la circulation aérienne militaire ainsi que des missions d'entraînement des avions de combat se déroulant dans sa zone. Dans le cadre de la prévention et de la protection, l'Escadron de Protection 1G.943 est chargé d'assurer la sécurité des installations et des matériels sensibles de la base aérienne.

En savoir plus sur...
La Tour Bellanda

La Tour BellandaSur la Colline du Château, la Tour Bellanda, vestige reconstruit d'une tour fortifiée de la citadelle, surplombe la Baie des Anges. La construction actuelle remplaça en 1825 la tour militaire médiévale ; Berlioz y composa en 1831 l'ouverture du Roi Lear. Aujourd'hui, elle est occupée par le musée national naval, consacré à l'histoire maritime du pays niçois.

Voir la photo panoramique de la baie des Anges

En savoir plus sur...
La Citadelle Saint Elme

LA CITADELLE DE SAINT ELMEA la dédition de Niceà la Savoie, en 1388, Villefranche revient au Duché de Savoie pour en devenir le seul débouché sur la mer.
En 1543, la flotte franco-turque commandée par Barberousse, occupe la rade obligeant le duc de Savoie Emmanuel-Philibert à fortifier la rade par la construction du fort du Mont-Alban et de la citadelle Saint-Elme ; celle-ci est construite par l'architecte militaire Italien Gian Maria Olgiati.

Une pancarte apposée sur les murs d'enceinte explique :

« GIAN MARIA OLGIATI, un des plus importants ingénieurs militaires italiens de la première moitié du XVIème siècle.
On lui doit le projet, la construction ou le réaménagement de près de 70 places fortes et villes bastionnées dans la Lombardie Espagnole, le Piémont, la Ligurie, la Corse et les Flandres.
Au service de Charles Quint dans l'Etat de Milan, Gian Maria Olgiati est envoyé par l'empereur à Nice pour aider son allié Charles II de Savoie à concevoir la défense « alla moderna » de ses Etats. En Mai 1550 Gian Maria Olgiati reste tout un mois à Nice pour préparer son projet de fortification côtière qu'il conçoit comme une véritable chaîne défensive vers la Méditerranée. Il dessine les plans de la Citadelle et la première ébauche du fort du Mont-Alban. Les travaux de la Citadelle commencent sous sa responsabilité, il y fait une dernière inspection en 1555.
Gian Maria Olgiati meurt en 1557. »

Voir les photos de la Citadelle Saint Elme en Fleurs, (2010)

En savoir plus sur...
L'EGLISE DU VœU

L'EGLISE DU VOEULe 25 avril 1832, le conseil municipal fait le Vœu de construire une église dédiée à Notre Dame des Grâces, qui protégea Nice du choléra. Initialement prévue au nord de la place Masséna, l'architecte Charles Mosca la construit dans le style néo-classique quai Saint Jean Baptiste, en 1852.

En savoir plus sur...
L'EGLISE SAINT FRANCOIS DE PAULE

L'EGLISE SAINT FRANCOIS DE PAULEL'église, ainsi que le couvent qui la jouxte, sont construits en 1722 et 1723 par les frères Minimes, installés à Nice depuis 1633 sur le site de l'actuelle chapelle de la Sainte Croix ; ils vendent leur ancienne maison aux pénitents Blancs de la Sainte-Croix en 1761. En 1838, après le départ des frères Minimes à la Révolution, elle est érigée en église paroissiale.
En 1934, après le rattachement de la paroisse à celle de Sainte Réparate, les Dominicains prennent possession des lieux.
œuvre de Jean André Guibert (auteur également de la cathédrale Saint Michel de Sospel, de l'église du Jésus et la cathédrale Sainte Réparate de Nice), elle est restaurée entre 1762 et 1767 ; l'église présente une décoration plutôt sobre dans les tons de gris, suivant la mode turinoise d'alors.
La décoration de la façade date de l'année 2002, en remplacement de l'enduit grisâtre d'origine. Sur le fronton la devise des frères Minimes : « CHARITAS ».

Voir les photos de l'église Saint François de Paule

En savoir plus sur...
L'EGLISE SAINT MARTIN-SAINT AUGUSTIN

L'EGLISE SAINT MARTIN-SAINT AUGUSTINLa paroisse Saint-Martin date de 1249. Les ermites de Saint-Augustin, installés à Nice depuis 1283, construisirent en 1405 un nouveau couvent près de Saint-Martin et utilisèrent l'église pour leurs offices.
Les Augustin eurent la charge de la paroisse de 1422 à 1793. L'église est rénovée au XVIIème siècle dans le style baroque.
L'armée occupe le couvent à la restauration sarde, et depuis 1907, il est le siège de la direction du Génie Militaire, (caserne Filley).
Sur son parvis, est érigé le monument en l'honneur de l'héroïne niçoise Catherine Ségurane.

Voir les photots de l'église Saint Martin Saint Augustin

En savoir plus sur...
L'EGLISE SAINT HOSPICE

L'EGLISE SAINT HOSPICEHospice vit au VI ème siècle, dans une vieille tour sur la pointe du cap qui porte aujourd'hui son nom. Il y pratique, loin du monde, les exercices de la pénitence ; il a le pouvoir de faire des miracles et possède le don de prophétie. Lors de l'invasion des Lombards qu'il avait prédite, l'un des soldats le prenant pour un malfaiteur, veut lui trancher la tête de son sabre, mais son bras soudain paralysé, laisse tomber l'arme ; Hospice a la vie sauve.
La chapelle est édifiée au XVII ème siècle sur les restes de la tour de Saint Hospice ; Elle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 13 mai 1929 ; le miracle de Saint Hospice est représenté par une sculpture disposée à côté de l'autel, à l'intérieur du Sanctuaire.
Le négociant en huiles niçois Auguste Gal, commande une statue de la vierge en bronze d'une hauteur de 11 mètres ; celle-ci, installée en 1903 à côté de la chapelle, n'est visible de loin que de la mer.

En savoir plus sur...
L'EGLISE NOTRE-DAME

L'EGLISE NOTRE-DAMELa plus grande église de Nice, l'église Notre Dame, a été construite de 1862 à 1875, en imitant le style gothique ; elle est l'œuvre de l'architecte C. Lenormand, inaugurée en 1868.
Elle est caractérisée par deux grandes tours de 65 mètres, encadrant une grande rosace représentant des scènes du mystère de l'Assomption.

En savoir plus sur...
La Fontaine du Soleil

La Fontaine du SoleilLa « Fontaine du Soleil », emblême de la place Masséna, est inaugurée en 1956.
Dans le bassin, cinq bronzes de personnages de la mythologie, (Terre, Mars, Saturne, Mercure et Vénus), œuvre d'Alfred Janniot, (qui participa également à la construction du Monument aux Morts niçois.
Au centre, jusqu'en 1970, dominait une grande statue d'Apollon.
En 1990, les statues furent démontées pour restauration, et plus tard la fontaine elle-même fut arrêtée pour cause de vétusté.
En 2007, les aménagements du tramway permirent la réhabilitation de la fontaine, toutefois sans l'Apollon.

Le 21 juin 2011, l'Apollon de marbre blanc est de retour après trente années d'exil au stade Charles Ehrmann ; après une profonde restauration, la statue repose sur quatre pieds de béton enfoncés dans le sol sur une dizaine de mètres, afin de supporter ses vingt tonnes.Alfred Auguste Janniot (1889 - 1969), élève de Bourdelle, premier grand prix de Rome en 1919, conçut la fontaine entre 1934 et 1937.

En savoir plus sur...
Le Fort de la Revère

Le Fort de la RevèereA la Revère, les premiers habitants s'installent dès l'âge de fer. Au XVIII ème siècle, les Austro-Sardes implantent un camp retranché à la Semboula dans le but de repousser les armées françaises et espagnoles. Au XIX ème siècle, la région, du Var à l'Italie, est fortifiée avec, dans le Parc de la Grande Corniche, deux forts : la Drette en 1878, et La Revère en 1879. Ce dernier dominant la mer à plus de 700 mètres, offre une vue circulaire sur la Méditerranée et les Alpes.
A la Maison de la Nature, les expositions montrent la géologie du plateau, la faune et la flore méditerranéennes; Le sentier nature permet également l'observation des grands rapaces qui y nichent et de nombreux oiseaux migrateurs.
Le fort, aujourd'hui inhabité, a été proposé par le Conseil Général, à la fondation Nicolas Hulot, pour un projet de centre de recherche et d'école, liés au développement durable.

Voir les photos du parc départemental de la Revère

En savoir plus sur...
Le Monastère de Cimiez

Monastère de CimiezLe site du monastère de Cimiez comprend l'Eglise Notre-Dame de l'Assomption, le musée Franciscain, et le Monastère.
Dans l'église du XVème siècle, des œuvres des primitifs niçois Louis et Antoine Bréa.

Le monastère est occupé depuis 1546 par l'ordre des Franciscains, dont le frère Marc, qui aurait donné le nom du fondateur de l'ordre au site de la ville de San Francisco. L'ensemble du monastère est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 4 juin 1993.
Les concerts des Nuits Musicales de Nice se tiennent dans le cloître du monastère (XVI ème siècle). Le cimetière du monastère abrite, entre autres, les tombes de Henri Matisse, Raoul Dufy, ou Roger Martin du Gard, prix Nobel de littérature 1937.
Sur le parvis de l'église, a lieu chaque année le festin des cougourdons

Le 23 octobre 2010 la place du monastère de Cimiez était rebaptisée place Jean Paul II. A cette occasion, sur le parvis de l'église, ont été dévoilés un buste de Karol Wojtyla (1920-2005), pape sous le nom de Jean Paul II de 1978 à 2005, et la nouvelle plaque de la place, portant désormais son nom.

Voir les photos de l'inauguration de la place Jean Paul II à Nice

En savoir plus sur...
Le Monument aux Morts

Le Monument aux MortsLa Colline du Château, berceau de Nice, abrite le site du Monument aux Morts. Celui-ci est aménagé dans les carrières qui ont fourni au XVIII ème siècle les matériaux pour la construction des quais du port Lympia, et au XIX ème, celle de la grande jetée. Sa construction en l'honneur des 4000 Niçois morts pour la France durant la Grande Guerre, est décidée en 1918 et les travaux débutèrent en 1924.
La réalisation, dans le style «Art-Déco» est confiée à l'architecte niçois Roger Seassal, premier grand prix de Rome en 1913, membre de l'Académie des Beaux-Arts; il est également l'auteur du monument «Napoléon» à Ajaccio et du casino de Menton ; les hauts-reliefs sont l'œuvre d'Alfred Janniot, grand prix de Rome en 1929, et qui réalisa aussi sur la Place Masséna, la Fontaine du Soleil.
Le Maréchal Foch l'inaugure le 29 janvier 1928; pendant la cérémonie les familles purent déposer les plaques d'identité de leurs morts dans un reliquaire scellé dans l'urne.
Aujourd'hui sont gravés également les noms des victimes de la deuxième Guerre Mondiale, d'Indochine et d'Algérie.

Voir les photos du Monument aux Morts

En savoir plus sur...
MUSEE MATISSE

MUSEE MATISSEEn 1670, Jean-Baptiste Gubernatis, consul de Nice, fait d'une modeste maison, une demeure génoise, le «Palais de Gubernatis».
La Ville de Nice, l'acquiert en 1950 et elle devient «Villa des Arènes».
En 1963 le musée Henri Matisse est ouvert au premier étage, tandis que le rez-de-chaussée est consacré au musée archéologique.
En 1986, ce dernier est transféré sur le site romain, tandis que le musée, rénové, ouvre ses portes en 1993.
Pour en savoir plus : le site officiel du : musée.

En savoir plus sur...
LE PALAIS COMMUNAL

LE PALAIS COMMUNALLe palais communal est l'ancien hôtel de ville situé place Saint-François ; sa construction dans le style baroque turinois, date de 1574, mais est modifié et restauré jusqu'en 1792, date à laquelle il est pillé et saccagé par les troupes françaises.
En 1868, la mairie s'installe définitivement dans l'ancien hôpital Saint Roch, l'Hôtel de Ville actuel.
En 1893, il devient le siège de la bourse du travail de la ville. Bien que restauré en 1978, il est dans un état d'abandon complet. Il est inscrit aux titres des Monuments historiques le 10 décembre 1949..
Le 25 septembre 2009, la mairie récupère l'édifice afin de le restaurer.

En savoir plus sur...
LE PORT LYMPIA

PORT LYMPIALes travaux du Port Lympia commencent au milieu du XVIII ème siècle; l'ingénieur militaire Antonio-Felice Devincenti agrandit le marécage alimenté par la source Lympia. Un bagne est construit sur les rives afin d'y loger la main d'œuvre; En 1751, le port est ouvert à la navigation mais les travaux d'extension dureront jusqu'en 1761. En 1770, le premier bassin terminé, l'ingénieur Filippo Nicolis commence le creusement du second, mais sans le quai. En 1880, il atteindra ses dimensions actuelles. Aujourd'hui, port de plaisance et de croisière, divers aménagements récents lui ont permis d'accueillir des ferries (principalement à destination de la Corse) et des bâtiments de croisières de plus fort tonnage.

Voir les photos du port Lympia

En savoir plus sur...
LA TETE CARREE

LA TETE CARREEInaugurée le 29 juin 2002, la bibliothèque Louis Nucéra est l'œuvre des architectes Bayard et Chapus et du sculpteur Sacha Sosno.
La Tête Carrée, dont l'originalité architecturale est l'un des symboles de Nice, a été imaginée par le sculpteur Sacha Sosno. Ce monument haut de trente mètres, large de quatorze, dans le prolongement du M.A.M.A.C.., accueille les bureaux de la bibliothèque Louis Nucéra.
La bibliothèque a été baptisée ainsi en hommage à l'écrivain niçois, Louis Nucéra.

En savoir plus sur...
LA TREILLE

LA TREILLE«La Treille», rue Saint-Augustin dans le Vieux-Nice,face au couvent de la Providence, est une ancienne guinguette où se réunissaient les défenseurs des traditions et de la langue niçoises. En 1925 Jean Auguste Nicola y fonda la Ciamada Nissarda, qu'il dirigea jusqu'en 1960.
Différents commerces se sont succédés dans ces murs ornés d'une vigne monumentale, qui inspirèrent, entre autres, le peintre Raoul Dufy : des ateliers de couture, des galeries, enfin un espace culturel russe.

En savoir plus sur...
L'usine de Super Rimiez

usine de Super RimiezLe Var, ses affluents la Tinée et la Vésubie, la Roya ont des eaux de très bonne qualité grâce à une oxygénation et un ensoleillement intenses. Les eaux infiltrées dans les calcaires des Préalpes de Nice et de Grasse affleurent dans des sources à très fort débit. L'eau potable à Nice provient, donc, d'une part de la Vésubie : l'eau captée près de Saint Jean la Rivière, est amenée jusqu'à l'usine de Super Rimiez, (inaugurée en 1972), par le canal de la Vésubie, (achevé en 1886), sur une longueur de 32 km 700 ; elle provient d'autre part de la nappe phréatique du Var, captée à partir de 1935 par des puits installés au nord du pont de la voie ferrée.

En savoir plus sur...
LA VILLA MASSENA

Villa MassénaSur la Promenade des Anglais, la villa Masséna est construite entre 1898 et 1901 par l'architecte niçois Aaron Messiah, avec la collaboration de l'architecte danois Hans-Georg Tersling, pour le compte du petit-fils du maréchal André Masséna, Victor Masséna, duc de Rivoli, prince d'Essling.
Le style choisi est celui des palais princiers italiens du XVIIIème siècle ; les jardins sont dessinés et réalisés par le paysagiste Edouard André.
Cédée à la ville de Nice en 1919, dans le but d'y aménager un musée de l'histoire et des traditions locales, et de sauvegarder ainsi la culture niçoise ; le musée, inauguré en 1921, expose 15000 œuvres, de l'époque napoléonnienne à 1939 ; la municipalité y installe également la bibliothèque léguée par Victor de Cessole, comprenant pas moins de 10000 ouvrages sur Nice, ainsi que ses photographies et cartes.
Après plusieurs années de réaménagements, le musée a rouvert ses portes en 2007.
La villa est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour nous er

Rechercher textes, reportages et photos sur le site


La galerie d'Art du Comté de Nice en Images