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COARAZE

- Localisation : VALLEE DU PAILLON DE CONTES
- G.P.S. : N 43º 51.897' - E 7º 17.625'
- countea de Nissa : Sans
- Communauté : Communauté Urbaine Nice Côte d'Azur
- Altitude : 665 mètres
- Distance de la Place Masséna à Nice : 27 kilomètres
- Trajet : D 2204c, D 15
- Manifestations principales : Championnat du monde de « pilou »
- Habitants : 660, (les Coaraziens)
- Mairie : place du Portal - 06390 COARAZE -
  Tél: (+33)04 93 79 34 80

- Musées : Cadrans solaires
- Office du Tourisme : Place Sainte Catherine - 06390 COARAZE -
  Tél: (+33)04 93 79 37 47

COARAZECoaraze est un village médiéval, classé parmi les « plus beaux Villages de France ».
A mi-chemin entre mer et stations de ski, perché à 650 mètres d’altitude sur une arrête rocheuse, parmi les cyprès et les oliviers, son histoire est chargée de légendes ; son nom, venant de « cauda rasa », signifie « queue rasée » : les habitants du village ayant capturé le diable, l’attachèrent par la queue ; en s’échappant, celui-ci fut obligé de la sectionner.
En fait, l’origine du nom serait peut-être moins glorieuse, mais plus géographique : au pied du village, le confluent du Gravier et du Paillon prend la forme d’un lézard sans queue, symbole que l’on retrouve dans le blason du village.
Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires ; en 1961, les 4 premiers cadrans sont placés sur la façade de la mairie :
- « Les animaux fabuleux » de Georges Douking ;
- « La chevauchée du temps » de Mona Cristie ;
- « Les tournesols » de Gilbert Valentin ;
- « Les lézards » de Jean Cocteau.
Plus tard, sur la place de l’église :
- « Blue Time », de Ponce Fidelio, dit Angel Ponce de Léon ;
- « Le python et sa couronne en vert et or », conçu par Henri Bernard Goetz ;
- « Lou tems passa, passa lou ben » de Benjamin Vautier, dit Ben ;
- « Femme à l'heure » de Alexandre Sosnowsky, dit Sacha Sosno ;
Sur le mur de l’école : Patrick Moya.
Bientôt deux autres seront placés sur le mur de la mairie : ceux de Fabienne Barre, et Henri Maccheroni.

 


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- 01 - COARAZE - VUE GENERALE


A propos de la photo 01 :

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COARAZE
VUE GENERALE

Coaraze est un village médiéval, classé parmi les « plus beaux Villages de France ».
A mi-chemin entre mer et stations de ski, perché à 650 mètres d’altitude sur une arrête rocheuse, parmi les cyprès et les oliviers, son histoire est chargée de légendes ;
son nom, « cauda rasa », signifie « queue rasée » : les habitants du village ayant capturé le diable, l’attachèrent par la queue ; pour s'échapper, celui-ci fut contraint de la sectionner.
En fait, l'origine du nom serait peut-être moins glorieuse, mais plus géographique : au pied du village, le confluent du Gravier et du Paillon prend la forme d'un lézard sans queue, symbole que l'on retrouve dans le blason du village.

 

 


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- 02 - COARAZE - LES RUELLES MEDIEVALES


A propos de la photo 02 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

Les ruelles sont organisées en « circulade » : plan circulaire à rues concentriques afin de renforcer le système défensif autour du château.

 

 


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- 03 - COARAZE - ENDREAUNES


A propos de la photo 03 :

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COARAZE
ENDREAUNES

Les « Pontis » ou « Endreaunes » construits pour augmenter l'espace habitable, permettaient la fuite par les toits ; ils ont servi d'abris pendant la seconde guerre mondiale.

 

 


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- 04 - COARAZE - ENDREAUNES


A propos de la photo 04 :

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ENDREAUNES

Les « Pontis » ou « Endreaunes » construits pour augmenter l'espace habitable, permettaient la fuite par les toits ; ils ont servi d'abris pendant la seconde guerre mondiale.

 

 


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- 05 - COARAZE - LES RUELLES MEDIEVALES


A propos de la photo 05 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

Les ruelles sont organisées en « circulade » : plan circulaire à rues concentriques afin de renforcer le système défensif autour du château.

 

 


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- 06 - COARAZE - LES RUELLES MEDIEVALES


A propos de la photo 06 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

Les ruelles sont organisées en « circulade » : plan circulaire à rues concentriques afin de renforcer le système défensif autour du château.

 

 


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- 07 - COARAZE - BOULANGERIE ET COMESTIBLES


A propos de la photo 07 :

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BOULANGERIE ET COMESTIBLES

Les ruelles sont organisées en « circulade » : plan circulaire à rues concentriques afin de renforcer le système défensif autour du château.

 

 


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- 08 - COARAZE - LES RUELLES MEDIEVALES


A propos de la photo 08 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

Les ruelles sont organisées en « circulade » : plan circulaire à rues concentriques afin de renforcer le système défensif autour du château.

Photo Michèle Maurin

 

 


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- 09 - COARAZE - EGLISE SAINT-JEAN BAPTISTE


A propos de la photo 09 :

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EGLISE SAINT-JEAN BAPTISTE

Une pancarte explicative sur le mur de l'édifice explique :
« Edifiée sans doute au XlVème siècle, à l'époque du « second art roman », restaurée au XVIème siècle puis XVIIème siècle.
Une inscription gravée dans la pierre, à l'entrée, rappelle que l'église est par trois fois détruite et reconstruite à la suite des guerres et des séismes, au moment de la « contre-réforme » et du Baroque.
La décoration intérieure est réalisée de style baroque pendant la réforme catholique, profusion de décorations en stuc, angelots et trompe-l'oeil, sur la façade latérale, écussons. Les 118 anges et angelots recensés parmi ce décor polychrome tranchent avec la façade néo-romane.
A l'intérieur, la Vierge à l'Enfant (albâtre daté 1600) est l'un des types de représentation de la Vierge les plus diffusés en Occident depuis le Xlllème siècle. »
.

 

 


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- 10 - COARAZE - EGLISE SAINT-JEAN BAPTISTE


A propos de la photo 10 :

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EGLISE SAINT-JEAN BAPTISTE

Une pancarte explicative sur le mur de l'édifice explique :
« Edifiée sans doute au XlVème siècle, à l'époque du « second art roman », restaurée au XVIème siècle puis XVIIème siècle.
Une inscription gravée dans la pierre, à l'entrée, rappelle que l'église est par trois fois détruite et reconstruite à la suite des guerres et des séismes, au moment de la « contre-réforme » et du Baroque.
La décoration intérieure est réalisée de style baroque pendant la réforme catholique, profusion de décorations en stuc, angelots et trompe-l'oeil, sur la façade latérale, écussons. Les 118 anges et angelots recensés parmi ce décor polychrome tranchent avec la façade néo-romane.
A l'intérieur, la Vierge à l'Enfant (albâtre daté 1600) est l'un des types de représentation de la Vierge les plus diffusés en Occident depuis le Xlllème siècle. »
.

 

 


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- 11 - COARAZE - LES CADRANS SOLAIRES DE LA MAIRIE


A propos de la photo 11 :

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LES CADRANS SOLAIRES DE LA MAIRIE

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d'Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l'ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires ; en 1961, les 4 premiers cadrans sont placés sur la façade de la mairie :
- « Les animaux fabuleux » de Georges Douking ;
- « La chevauchée du temps » de Mona Cristie ;
- « Les tournesols » de Gilbert Valentin ;
- « Les lézards » de Jean Cocteau.
Plus tard, sur la place de l'église :
- « Blue Time », de Ponce Fidelio, dit Angel Ponce de Léon ;
- « Le python et sa couronne en vert et or », conçu par Henri Bernard Goetz ;
- « Lou tems passa, passa lou ben » de Benjamin Vautier, dit Ben ;
- « Femme à l'heure » de Alexandre Sosnowsky, dit Sacha Sosno ;
Sur le mur de l'école : Patrick Moya.
Bientôt deux autres seront placés sur le mur de la mairie : ceux de Fabienne Barre, et Henri Maccheroni.

 

 


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- 12 - COARAZE - LES CADRANS SOLAIRES DE COARAZE


A propos de la photo 12 :

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LES CADRANS SOLAIRES DE COARAZE

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d'Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires ; en 1961, les 4 premiers cadrans sont placés sur la façade de la mairie :
- « La chevauchée du temps » de Mona Cristie ;
- « Les animaux fabuleux » de Georges Douking ;
- « Les lézards » de Jean Cocteau.
- « Les tournesols » de Gilbert Valentin ;
Plus tard, sur la place de l’église :
- « Lou tems passa, passa lou ben » de Benjamin Vautier, dit Ben ;
- « Femme à l'heure » de Alexandre Sosnowsky, dit Sacha Sosno.
- « Le python et sa couronne en vert et or », conçu par Henri Bernard Goetz ;
- « Blue Time », de Ponce Fidelio, dit Angel Ponce de Léon.

 

 


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- 13 - COARAZE - « LA CHEVAUCHEE DU TEMPS » DE MONA CRISTIE


A propos de la photo 13 :

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« LA CHEVAUCHEE DU TEMPS » DE MONA CRISTIE

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 14 - COARAZE - « LES TOURNESOLS » DE GILBERT VALENTIN


A propos de la photo 14 :

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« LES TOURNESOLS » DE GILBERT VALENTIN

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 15 - COARAZE - « LES ANIMAUX FABULEUX » DE GEORGES DOUKING


A propos de la photo 15 :

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« LES ANIMAUX FABULEUX » DE GEORGES DOUKING

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 16 - COARAZE - « LES LEZARDS » DE JEAN COCTEAU


A propos de la photo 16 :

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« LES LEZARDS » DE JEAN COCTEAU

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 17 - COARAZE - « LOU TEMS PASSA, PASSA LOU BEN » DE BEN


A propos de la photo 17 :

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« LOU TEMS PASSA, PASSA LOU BEN » DE BEN

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 18 - COARAZE - « FEMME A L'HEURE » DE ALEXANDRE SOSNOWSKY, DIT SACHA SOSNO


A propos de la photo 18 :

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« FEMME A L'HEURE » DE ALEXANDRE SOSNOWSKY, DIT SACHA SOSNO

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 19 - COARAZE - « LE PYTHON ET SA COURONNE EN VERT ET OR », DE GOETZ


A propos de la photo 19 :

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« LE PYTHON ET SA COURONNE EN VERT ET OR », DE GOETZ

Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 20 - COARAZE - « BLUE TIME », DE PONCE FIDELIO, DIT ANGEL PONCE DE LEON


A propos de la photo 20 :

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« BLUE TIME », DE PONCE FIDELIO, DIT ANGEL PONCE DE LEON

Auteur également des fresques bleues de la « Chapelle Bleue », oratoire dédié à la Vierge à la périphérie du village.
Dans les années 60, le maire de Coaraze, Paul Mari d’Antoine, organise le salon des cadrans solaires, en référence à l’ensoleillement du village, le plus important de France ; avec la participation de ses amis Jean Cocteau et Gilbert Valentin, il décide la réalisation de douze cadrans solaires.

 

 


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- 21 - COARAZE - CADRAN SOLAIRE ANONYME


A propos de la photo 21 :

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CADRAN SOLAIRE ANONYME

Cadran solaire en pierre sculptée par un habitant de Coaraze. Ce cadran se trouve face à la « Chapelle Bleue » ou Chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs. Le style, en fer, comportait un anneau muni d'une lentille focalisant les rayons du soleil.
L’inscription est extraite du livre « le petit prince » de Antoine de Saint-Exupéry :
« Adieu, dit le renard.
Voici mon secret. Il est très simple :
on ne voit bien qu'avec le coeur.
L'essentiel est invisible pour les yeux. »

 

 


COARAZE
- 22 - COARAZE - CADRAN SOLAIRE ANONYME


A propos de la photo 22 :

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CADRAN SOLAIRE ANONYME

Sur le mur d’une villa, représentation du village et de son emblème : le lézard à queue coupée.

 

 


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- 23 - COARAZE - PLACE FELIX GIORDAN


A propos de la photo 23 :

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PLACE FELIX GIORDAN

Enfant du pays mort pour la France le 11 juin 1944 à Saint Julien du Verdon :
un poème de Alain Peglion, dit Alan Pelhon (1946-1994), originaire de Coaraze, est gravé sur le mur en son honneur :

« FIU DAU PALHON
Nano
Jove cargat d'ans
empastissats d'istòria
Pichon
Mon pichon liure
Liure coma un sparvier liure
Virolant subre Roccasseira liura
Rai que giscla
Marmiton testard
s'encalant en lei robinas
Tòro rugissent en lei cluas escuri
Mon enfanton desgaubiat
Mon pichonet ai pens d'arena
Mon fiu dei raissas dei gralhas
dei camps jerps
Masca de toi li tomps
Aucelon sublant sus la grava
l'òdor de la fèrigola dau sant joan
Arzilac semenat d'estelas
Siás chavana de la renaissença
Mauro Barbet Resistènt
Gigant
Mon fiu siás un gigant.
Alan PELHON »


En français :

« ENFANT DU PAILLON

Nain
Enfant portant des siècles
barbouillés d'histoire
Petit
Mon petit libre
Libre comme un épervier libre
Tournoyant sur "Roccassiera" libre
Source jaillissante
Enfant têtu dévalant les ravines
Taureau mugissant
dans les gorges obscures
Mon enfant maladroit
Mon petit au pieds de sable
Mon fils des orages des corneilles
des champs incultes
Sorcière de tous les gouffres
Oisillon sifflant sur la gravière
l'odeur du thym de la lavande
Buisson semé d'étoiles
Tu es l'ouragan de la renaissance
Maure Barbet Résistant
Géant
Mon enfant tu es un géant. »

 

 


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- 24 - COARAZE - LA CHAPELLE NOTRE-DAME DES SEPT DOULEURS


A propos de la photo 24 :

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COARAZE
LA CHAPELLE NOTRE-DAME DES SEPT DOULEURS

Ponce Fidelio, dit Angel Ponce de Leon a réalisé les « fresques bleues » de cette chapelle du XVIIème siècle, oratoire dédié à la Vierge situé à la périphérie du village.

 

 


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