A propos des photos sur :
LA PROMENADE DU PAILLON

Inaugurée le 26 octobre 2013, la Promenade du Paillon est la « Coulée Verte » niçoise.
Cette dernière est l'aménagement, sur douze hectares, de jardins et d'espaces de détente, réalisés sur le tracé de la couverture du Paillon, conçu en 2012 par l’agence d’architectes-paysagistes Péna & Péna.
Elle remplacera les jardins suspendus et parkings, inaugurés en 1973, et réalisés par les architectes français Yves Bayard et Henri Vidal.
Ce parc urbain relie le M.A.M.A.C. et le Théâtre National de Nice à la mer. En suivant le tracé Paillon il englobe les anciens Square Leclerc, Espace Jacques Médecin, espace Masséna, jardin Albert 1^er, et square Yitzhak Rabin.
Une végétation de tous les continents agrémente la Promenade :
- la Méditerranée, avec chênes, pins parasols, cyprès, oliviers, vignes, caroubiers, grenadiers…
- l’Asie, avec camphriers, bambous...
- l’Afrique, avec palmiers Phoenix…
- l’Océanie, avec eucalyptus, fougères arborescentes, ficus...
- l’Amérique du sud, avec l’arbre bouteille recouvert d’épines, ou encore les cocotiers du Chili
- l’Amérique du Nord, avec magnolias, érables…
Le long du parcours, des pancartes, avec QR codes, favorisent la visite de ce jardin botanique.
Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 01 - LA PROMENADE DU PAILLON - ESPLANADE DE LA BOURGADA

A propos de la photo 01 :

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Les parcs et jardins
LA PROMENADE DU PAILLON
ESPLANADE DE LA Bourgada

EGLISE DU VŒU

L’église de la Madone des Grâces, paroisse Saint-Jean-Baptiste, dite église du Vœ;u, est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste. L’architecte Charles Mosca la conçoit dans le style néo-classique, en 1852. La décoration intérieure provient en grande partie du couvent des Augustins déchaux édifié à l’emplacement du Lycée Masséna; la Madone des Grâces est célèbrée par le tableau du maître-autel : « Le Vœ;u de Nice » peint par Edouard-Gaspard Hauser en 1862.
A l’extérieur, sous la représentation de la « Foi » au sommet de la façade, le fronton du porche est orné des armes de Nice, « signature » de l’origine municipale de l’édifice.

L'extension de la ville, sur la rive droite du Paillon, était appelée jusqu'au XIX ^ème siècle, la « Bourgada ».
La nouvelle esplanade de la Bourgada (inaugurée le 3 juin 2012, à l'occasion de la Festa Dóu Vout et du 160 ^ème anniversaire de l’église du Vœ;u), est la première tranche de la « Coulée Verte »; cette dernière est l'amènagement, conçu en 2012 par l’agence d’architectes-paysagistes Péna & Péna, de jardins et d'espaces de détente, réalisés sur le tracé de la couverture du Paillon; elle remplacera les jardins suspendus et parkings, ouverts au public en 1973, et réalisés par les architectes français Yves Bayard et Henri Vidal.
L'esplanade, dallée de basalte noir et calcaire blanc, est complantée d'une cinquantaine de bigaradiers et palmiers Phoenix.

- 02 - LA PROMENADE DU PAILLON - ESPLANADE DE LA BOURGADA

A propos de la photo 02 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
ESPLANADE DE LA Bourgada

EGLISE DU VŒU

L’église de la Madone des Grâces, paroisse Saint-Jean-Baptiste, dite église du Vœ;u, est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste. L’architecte Charles Mosca la conçoit dans le style néo-classique, en 1852. La décoration intérieure provient en grande partie du couvent des Augustins déchaux édifié à l’emplacement du Lycée Masséna; la Madone des Grâces est célèbrée par le tableau du maître-autel : « Le Vœ;u de Nice » peint par Edouard-Gaspard Hauser en 1862.
A l’extérieur, sous la représentation de la « Foi » au sommet de la façade, le fronton du porche est orné des armes de Nice, « signature » de l’origine municipale de l’édifice.

L'extension de la ville, sur la rive droite du Paillon, était appelée jusqu'au XIX ^ème siècle, la « Bourgada ».
La nouvelle esplanade de la Bourgada (inaugurée le 3 juin 2012, à l'occasion de la Festa Dóu Vout et du 160 ^ème anniversaire de l’église du Vœ;u), est la première tranche de la « Coulée Verte »; cette dernière est l'amènagement, conçu en 2012 par l’agence d’architectes-paysagistes Péna & Péna, de jardins et d'espaces de détente, réalisés sur le tracé de la couverture du Paillon; elle remplacera les jardins suspendus et parkings, ouverts au public en 1973, et réalisés par les architectes français Yves Bayard et Henri Vidal.
L'esplanade, dallée de basalte noir et calcaire blanc, est complantée d'une cinquantaine de bigaradiers et palmiers Phoenix.

- 03 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE THEATRE NATIONAL DE NICE

A propos de la photo 03 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE THEATRE NATIONAL DE NICE

Le long de la promenade, des plateaux de basalte sont pourvus de brumisateurs dont les buses donnent naissance à des nuages rafraïchissants.

Le Théâtre National de Nice domine l’esplanade de la Bourgada, point de départ de la promenade du Paillon au Nord Est de la Coulée Verte niçoise.

Le centre dramatique national Nice-Côte d'Azur a été créé en 1969; le bâtiment provisoire, démoli en 1988, est remplacé par le théâtre construit Promenade des Arts, inauguré en 1989, et prendra le nom de Théâtre National de Nice en 2002.
La salle à l’italienne, Pierre Brasseur contient 900 places, la salle Michel Simon 300 places, le tout complété par une salle de répétition.

- 04 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE THEATRE NATIONAL DE NICE.

A propos de la photo 04 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE THEATRE NATIONAL DE NICE. LA TOUR SAINT FRANÇOIS

Le Théâtre National de Nice domine l’esplanade de la Bourgada, point de départ de la promenade du Paillon au Nord Est de a Coulée Verte niçoise.

Le centre dramatique national Nice-Côte d'Azur a été créé en 1969; le bâtiment provisoire, démoli en 1988, est remplacé par le théâtre construit Promenade des Arts, inauguré en 1989, et prendra le nom de Théâtre National de Nice en 2002.
La salle à l’italienne, Pierre Brasseur contient 900 places, la salle Michel Simon 300 places, le tout complété par une salle de répétition.


A droite, la tour Saint François est construite en 1722 pour donner un clocher au couvent des Franciscains. Le couvent abandonné à la révolution, est vendu aux enchères en 1798 à la municipalité. Le clocher est modifié en 1841 et reçoit l'horloge.

Voir le guide du Vieux Nice.

- 05 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE LYCEE MASSENA

A propos de la photo 05 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE LYCEE MASSENA

Le Lycée Masséna est construit sur l’emplacement d'un couvent de l’ordre mendiant des Augustins-déchaux fondé en 1574.
De 1644 à 1662 a lieu la construction du couvent et d'une église dédiée à Saint-Jean-Baptiste, qui donna son nom au quartier, à l'avenue et à la paroisse de l'église du Vœu. Le couvent abandonné à la révolution, en 1796, est affecté à l'école Centrale. Le bâtiment deviendra le lycée impérial, en ouvrant ses portes en 1812. Son architecture comporte de nombreuses frises et mosaïques.
Parmi ses anciens élèves, on peut citer le juriste René Cassin, principal auteur de la déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, prix Nobel de la paix en 1968, les écrivains Jean d'Ormesson, Joseph Kessel, Jean-Marie Le Clézio, Max Gallo, Jules Romains, l’aviateur Roland Garros, le mathématicien Paul Montel, le peintre Yves Klein, ou encore les poètes et écrivains défenseurs de la langue niçoise, Louis Nucera, et Menica Rondelly.

- 06 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE LYCEE MASSENA

A propos de la photo 06 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE LYCEE MASSENA

Le Lycée Masséna est construit sur l’emplacement d'un couvent de l’ordre mendiant des Augustins-déchaux fondé en 1574.
De 1644 à 1662 a lieu la construction du couvent et d'une église dédiée à Saint-Jean-Baptiste, qui donna son nom au quartier, à l'avenue et à la paroisse de l'église du Vœu. Le couvent abandonné à la révolution, en 1796, est affecté à l'école Centrale. Le bâtiment deviendra le lycée impérial, en ouvrant ses portes en 1812. Son architecture comporte de nombreuses frises et mosaïques.
Parmi ses anciens élèves, on peut citer le juriste René Cassin, principal auteur de la déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, prix Nobel de la paix en 1968, les écrivains Jean d'Ormesson, Joseph Kessel, Jean-Marie Le Clézio, Max Gallo, Jules Romains, l’aviateur Roland Garros, le mathématicien Paul Montel, le peintre Yves Klein, ou encore les poètes et écrivains défenseurs de la langue niçoise, Louis Nucera, et Menica Rondelly.

- 07 - LA PROMENADE DU PAILLON - LES ŒILLETS DE NICE DEVANT LE LYCEE MASSENA

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LA PROMENADE DU PAILLON
LES ŒILLETS DE NICE DEVANT LE LYCEE MASSENA

La promenade du Paillon réserve un espace à l’emblème de la ville, l’œillet de Nice, en présentant un ensemble de 2000 plants aux couleurs variées

Sur les collines de Nice, les planches de culture d’œillets ont le plus souvent disparues, laissant place à la construction immobilière.
La culture de l’œillet s’est imposée sur la Côte d’Azur après le rattachement de Nice à la France, en 1860. La principale variété, l’œillet « crevard » a des origines italiennes. Vers 1920 les œillets américains, plus résistants, font leur apparition.
Cette culture demande un travail long et minutieux, par la pose de tuteurs de roseaux tous les quarante centimètres; ceux-ci sont reliés par un fil, formant un maillage serré, sur quatre à cinq rangs de hauteur, suivant la longueur des tiges. Les cultures, en plein air, étaient protégées par des canisses déroulées tous les soirs au dessus des tuteurs.
L’œillet américain prend aujourd'hui de plus en plus d’importance, sa culture en serre nécessitant de cinq à six fois moins de surface. Aujourd’hui, les Alpes Maritimes comptent environs 44 hectares consacrés à l’œillet, pratiquement tous en culture hors-sol, avec l’aide de la réfrigération et des conservateurs.

A droite, la tour du Lycée Masséna.
Le Lycée Masséna est construit sur l’emplacement d'un couvent de l’ordre mendiant des Augustins-déchaux fondé en 1574.
De 1644 à 1662 a lieu la construction du couvent et d'une église dédiée à Saint-Jean-Baptiste, qui donna son nom au quartier, à l'avenue et à la paroisse de l'église du Vœu. Le couvent abandonné à la révolution, en 1796, est affecté à l'école Centrale. Le bâtiment deviendra le lycée impérial, en ouvrant ses portes en 1812. Son architecture comporte de nombreuses frises et mosaïques.
Parmi ses anciens élèves, on peut citer le juriste René Cassin, principal auteur de la déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, prix Nobel de la paix en 1968, les écrivains Jean d'Ormesson, Joseph Kessel, Jean-Marie Le Clézio, Max Gallo, Jules Romains, l’aviateur Roland Garros, le mathématicien Paul Montel, le peintre Yves Klein, ou encore les poètes et écrivains défenseurs de la langue niçoise, Louis Nucera, et Menica Rondelly.

- 08 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE LYCEE MASSENA

A propos de la photo 08 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE LYCEE MASSENA

Le long de la promenade, des plateaux de basalte sont pourvus de brumisateurs dont les buses donnent naissance à des nuages rafraïchissants.
Le Lycée Masséna est construit sur l’emplacement d'un couvent de l’ordre mendiant des Augustins-déchaux fondé en 1574.
De 1644 à 1662 a lieu la construction du couvent et d'une église dédiée à Saint-Jean-Baptiste, qui donna son nom au quartier, à l'avenue et à la paroisse de l'église du Vœu. Le couvent abandonné à la révolution, en 1796, est affecté à l'école Centrale. Le bâtiment deviendra le lycée impérial, en ouvrant ses portes en 1812. Son architecture comporte de nombreuses frises et mosaïques.
Parmi ses anciens élèves, on peut citer le juriste René Cassin, principal auteur de la déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, prix Nobel de la paix en 1968, les écrivains Jean d'Ormesson, Joseph Kessel, Jean-Marie Le Clézio, Max Gallo, Jules Romains, l’aviateur Roland Garros, le mathématicien Paul Montel, le peintre Yves Klein, ou encore les poètes et écrivains défenseurs de la langue niçoise, Louis Nucera, et Menica Rondelly.

- 09 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE THEATRE NATIONAL DE NICE.

A propos de la photo 09 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE THEATRE NATIONAL DE NICE. LA TOUR SAINT FRANÇOIS

Le Théâtre National de Nice domine l’esplanade de la Bourgada, point de départ de la promenade du Paillon au Nord Est de a Coulée Verte niçoise.

Le centre dramatique national Nice-Côte d'Azur a été créé en 1969; le bâtiment provisoire, démoli en 1988, est remplacé par le théâtre construit Promenade des Arts, inauguré en 1989, et prendra le nom de Théâtre National de Nice en 2002.
La salle à l’italienne, Pierre Brasseur contient 900 places, la salle Michel Simon 300 places, le tout complété par une salle de répétition.


A droite, la tour Saint François est construite en 1722 pour donner un clocher au couvent des Franciscains. Le couvent abandonné à la révolution, est vendu aux enchères en 1798 à la municipalité. Le clocher est modifié en 1841 et reçoit l'horloge.

Voir le guide du Vieux Nice.

- 10 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MARECHAL ANDRE MASSENA

A propos de la photo 10 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MARECHAL ANDRE MASSENA

Inaugurée en 1869, la statue est l'œuvre du sculpteur Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887, entre autre le professeur d’Auguste Rodin).
Né à Nice en 1758, André Masséna, orphelin à l’âge de 13 ans, s’embarque comme mousse sur un vaisseau. Quatre ans plus tard, il s’engage dans le régiment Royal-Italien. En 1789, adjudant depuis plusieurs années, il est au sommet de la hiérarchie pour un roturier. Il quitte l’armée, s’installe à Antibes et s’y marie.
En 1793, il est nommé général de brigade, puis général de division de la Garde Nationale. .
Masséna reçoit le commandement de l’avant-garde de l’Armée d’Italie et se distingue à Montenotte, à Dego, à Lodi, dans le Milanais. A Rivoli, son action est décisive. En septembre 1799, il bat les Autrichiens et les Russes à Zurich. .
Devenu député en juillet 1803, il reçoit le bâton de maréchal en 1804. L’année suivante, Masséna reprend du service en Italie. .
En 1805, Masséna reçoit le commandement de l’Armée de Naples, afin d’installer Joseph sur le trône. .
En mars 1809, il organise un corps de 40 000 hommes et rejoint la Grande Armée pour la campagne d’Autriche. A Wagram les 5 et 6 juillet, il contient le gros de l’attaque autrichienne. A la fin de cette campagne, Masséna est fait prince d’Essling. .
Gouverneur militaire de Marseille, il reste en fonction à la première Restauration. Pendant les Cent-Jours, Masséna se rallie à l’Empereur. Commandant de la Garde nationale de Paris après Waterloo, Louis XVIII le démet rapidement de cette fonction. Il meurt le 4 avril 1817 à Paris, âgé de 58 ans.

- 11 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MARECHAL ANDRE MASSENA

A propos de la photo 11 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MARECHAL ANDRE MASSENA

Au premier plan, l’allée Résistance et Déportation permet de joindre la Ville Vielle à la Ville Nouvelle.

Inaugurée en 1869, la statue est l'œuvre du sculpteur Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887, entre autre le professeur d’Auguste Rodin).
Né à Nice en 1758, André Masséna, orphelin à l’âge de 13 ans, s’embarque comme mousse sur un vaisseau. Quatre ans plus tard, il s’engage dans le régiment Royal-Italien. En 1789, adjudant depuis plusieurs années, il est au sommet de la hiérarchie pour un roturier. Il quitte l’armée, s’installe à Antibes et s’y marie.
En 1793, il est nommé général de brigade, puis général de division de la Garde Nationale. .
Masséna reçoit le commandement de l’avant-garde de l’Armée d’Italie et se distingue à Montenotte, à Dego, à Lodi, dans le Milanais. A Rivoli, son action est décisive. En septembre 1799, il bat les Autrichiens et les Russes à Zurich. .
Devenu député en juillet 1803, il reçoit le bâton de maréchal en 1804. L’année suivante, Masséna reprend du service en Italie. .
En 1805, Masséna reçoit le commandement de l’Armée de Naples, afin d’installer Joseph sur le trône. .
En mars 1809, il organise un corps de 40 000 hommes et rejoint la Grande Armée pour la campagne d’Autriche. A Wagram les 5 et 6 juillet, il contient le gros de l’attaque autrichienne. A la fin de cette campagne, Masséna est fait prince d’Essling. .
Gouverneur militaire de Marseille, il reste en fonction à la première Restauration. Pendant les Cent-Jours, Masséna se rallie à l’Empereur. Commandant de la Garde nationale de Paris après Waterloo, Louis XVIII le démet rapidement de cette fonction. Il meurt le 4 avril 1817 à Paris, âgé de 58 ans.

- 12 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE COIN DES ENFANTS : LA BALEINE

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE COIN DES ENFANTS : LA BALEINE

Une baleine, des dauphins, des pieuvres, une tortue géante font la joie des enfants de 3 à 12 ans. En bois massif, ces animaux marins, supportant balançoires et toboggans, ont été réalisés par un atelier français du centre de la France.

A droite, le Lycée Masséna est construit sur l’emplacement d'un couvent de l’ordre mendiant des Augustins-déchaux fondé en 1574.
De 1644 à 1662 a lieu la construction du couvent et d'une église dédiée à Saint-Jean-Baptiste, qui donna son nom au quartier, à l'avenue et à la paroisse de l'église du Vœu. Le couvent abandonné à la révolution, en 1796, est affecté à l'école Centrale. Le bâtiment deviendra le lycée impérial, en ouvrant ses portes en 1812. Son architecture comporte de nombreuses frises et mosaïques.
Parmi ses anciens élèves, on peut citer le juriste René Cassin, principal auteur de la déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, prix Nobel de la paix en 1968, les écrivains Jean d'Ormesson, Joseph Kessel, Jean-Marie Le Clézio, Max Gallo, Jules Romains, l’aviateur Roland Garros, le mathématicien Paul Montel, le peintre Yves Klein, ou encore les poètes et écrivains défenseurs de la langue niçoise, Louis Nucera, et Menica Rondelly.

- 13 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE COIN DES ENFANTS : LA PIEUVRE

A propos de la photo 13 :

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LE COIN DES ENFANTS : LA PIEUVRE

Une baleine, des dauphins, des pieuvres, une tortue géante font la joie des enfants de 3 à 12 ans. En bois massif, ces animaux marins, supportant balançoires et toboggans, ont été réalisés par un atelier français du centre de la France.

- 14 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE COIN DES ENFANTS : LA PIEUVRE

A propos de la photo 14 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE COIN DES ENFANTS : LA PIEUVRE

Une baleine, des dauphins, des pieuvres, une tortue géante font la joie des enfants de 3 à 12 ans. En bois massif, ces animaux marins, supportant balançoires et toboggans, ont été réalisés par un atelier français du centre de la France.

- 15 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU ET LA TOUR DE L’HORLOGE

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LE MIROIR D’EAU ET LA TOUR DE L’HORLOGE

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

Au loin, la tour de l'Horloge du palais Rusca; Jean-Baptiste Rusca, est né à La Brigue en 1759, et mort au combat en 1814 à Soissons; médecin, en 1792 il s’engage dans les armées révolutionnaires et promu au grade de général; il s’illustra notamment aux côtés de Masséna en 1794 dans la bataille de l’Authion.

La caserne Rusca construite de 1775 à 1776 par l’architecte Philippe Nicolis de Robilante, abritait la garnison de la ville; c’est en 1990 qu’elle devient une dépendance du palais de justice.

Une pancarte du Centre du Patrimoine de Nice explique :
«  TOUR DE L'HORLOGE – 1718
Architecte : Bernardo Spinetta.
Commanditaire : Ville de Nice.
Elle remplace l'ancienne Tour communale, datée au moins du XV^ème siècle, située sur les pentes du Château, à côté du Palais et de la Loge communale. Elle fut abattue en 1704, car elle se trouvait dans le champ de tir de l'artillerie de la forteresse et de ce fait, avait déjà été détruite lors des sièges de 1543 et 1691. La tour Communale de l'Horloge est un des symboles de l'autonomie de la Commune de Nice qui, en distribuant le temps à l'égal de l'Eglise, rythmait la vie sociale et, en cas de conflit avec les autorités religieuses, pouvait se passer des cloches paroissiales. Sur la plaque rappelant sa construction figure le duc de Savoie Victor-Amédée II sous le titre de roi de Sicile, porté seulement de 1713 à 1720. Il deviendra alors roi de Sardaigne, avant de transmettre ce titre à ses descendants. Le bâtiment voisin est une caserne élevée en 1776, sur cette place dite alors place d'Armes, qui venait d'être aménagée du fait de la destruction des fortifications. Il abrite aujourd'hui une annexe du Palais de justice. »

- 16 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU ET LA TOUR DE L’HORLOGE

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MIROIR D’EAU ET LA TOUR DE L’HORLOGE

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

Au loin, la tour de l'Horloge du palais Rusca; Jean-Baptiste Rusca, est né à La Brigue en 1759, et mort au combat en 1814 à Soissons; médecin, en 1792 il s’engage dans les armées révolutionnaires et promu au grade de général; il s’illustra notamment aux côtés de Masséna en 1794 dans la bataille de l’Authion.

La caserne Rusca construite de 1775 à 1776 par l’architecte Philippe Nicolis de Robilante, abritait la garnison de la ville; c’est en 1990 qu’elle devient une dépendance du palais de justice.

Une pancarte du Centre du Patrimoine de Nice explique :
«  TOUR DE L'HORLOGE – 1718
Architecte : Bernardo Spinetta.
Commanditaire : Ville de Nice.
Elle remplace l'ancienne Tour communale, datée au moins du XV^ème siècle, située sur les pentes du Château, à côté du Palais et de la Loge communale. Elle fut abattue en 1704, car elle se trouvait dans le champ de tir de l'artillerie de la forteresse et de ce fait, avait déjà été détruite lors des sièges de 1543 et 1691. La tour Communale de l'Horloge est un des symboles de l'autonomie de la Commune de Nice qui, en distribuant le temps à l'égal de l'Eglise, rythmait la vie sociale et, en cas de conflit avec les autorités religieuses, pouvait se passer des cloches paroissiales. Sur la plaque rappelant sa construction figure le duc de Savoie Victor-Amédée II sous le titre de roi de Sicile, porté seulement de 1713 à 1720. Il deviendra alors roi de Sardaigne, avant de transmettre ce titre à ses descendants. Le bâtiment voisin est une caserne élevée en 1776, sur cette place dite alors place d'Armes, qui venait d'être aménagée du fait de la destruction des fortifications. Il abrite aujourd'hui une annexe du Palais de justice. »

- 17 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU

A propos de la photo 17 :

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LE MIROIR D’EAU

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 18 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU

A propos de la photo 18 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MIROIR D’EAU

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 19 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU

A propos de la photo 19 :

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LE MIROIR D’EAU

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 20 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU

A propos de la photo 20 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MIROIR D’EAU

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 21 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU

A propos de la photo 21 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MIROIR D’EAU

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 22 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MIROIR D’EAU

A propos de la photo 22 :

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Les parcs et jardins
LA PROMENADE DU PAILLON
LE MIROIR D’EAU

Le long de la place Masséna, remplaçant l’ancien forum Jacques Médecin, un miroir d’eau de 3.000 m² reflète les immeubles de l’avenue Félix Faure. 128 jets d’eau alimentés par une machinerie « informatisée » comportant près de 6000 mètres de tuyauterie enterrée, permettent l’organisation de spectacles « son et lumière » variés.

- 23 - LA PROMENADE DU PAILLON - LA PLACE MASSENA

A propos de la photo 23 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LA PLACE MASSENA

Les plans du Consiglio d'Ornato prévoient en 1832 la création de deux places, situées de chaque côté du Paillon, et reliées par le pont Saint-Charles, datant de 1824. En fait, la place est la réunion de la place Charles-Albert, en bordure du Vieux Nice, datant des années 1820-1830, et de la place Masséna, aménagée par Joseph Vernier de l'autre côté du Paillon, datant des années 1840-1850. Joseph Vernier prévoyait l'édification de l'église Notre-Dame-des-Grâces au nord; mais le Consiglio d'Ornato abandonne le projet, et l'église du Vœu est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste.
Nommée place du Faubourg, puis place Carrée, elle devient officiellement place Masséna en 1852; elle est achevée en 1860, pour la visite de Napoléon III.
En 1882, le Paillon est recouvert, permettant ainsi en 1884, la construction, à l'est, du casino municipal.
La place, aujourd'hui, sous l'impulsion de l'architecte urbaniste Bruno Fortier, est rendue aux piètons; les «Trophées de l'aménagement urbain» récompensent les nouveaux amènagements, en avril 2008, par une mention spéciale.
La place est délimitée,
- au nord, par les bâtiments en arcades, définis par le Consiglio d'Ornato en 1852;
- au sud, par la fontaine du Soleil, mise en place en 1956, démontée en 1990, réinstallée en 2007, la (à l'occasion de l'arrivée de ligne 1 du tramway), terminée le 21 juin 2011 par le retour de l'Apollon d'Alfred Janniot;
- à l'est, par l'espace Jacques Médecin, aménagé sur l'emplacement de l'ancien casino municipal démoli en 1979;
- à l'ouest, par le jardin Albert 1^er.
L'artiste catalan, Jaume Plensa, a aménagé dans le cadre de la construction du tramway, son œuvre «Conversation à Nice» : sept sculptures en résine translucides illuminées de couleurs changeantes, fixées sur des mâts, représentent les sept continents.

Aujourd’hui, la nouvelle Promenade du Paillon remplace les anciens forum Jacques Médecin, square Général Leclerc, espace Masséna, Jardin Albert 1^er, et square Yitzhak Rabin de part et d’autre de la place Masséna.

- 24 - LA PROMENADE DU PAILLON - LA PLACE MASSENA

A propos de la photo 24 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LA PLACE MASSENA

Les plans du Consiglio d'Ornato prévoient en 1832 la création de deux places, situées de chaque côté du Paillon, et reliées par le pont Saint-Charles, datant de 1824. En fait, la place est la réunion de la place Charles-Albert, en bordure du Vieux Nice, datant des années 1820-1830, et de la place Masséna, aménagée par Joseph Vernier de l'autre côté du Paillon, datant des années 1840-1850. Joseph Vernier prévoyait l'édification de l'église Notre-Dame-des-Grâces au nord; mais le Consiglio d'Ornato abandonne le projet, et l'église du Vœu est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste.
Nommée place du Faubourg, puis place Carrée, elle devient officiellement place Masséna en 1852; elle est achevée en 1860, pour la visite de Napoléon III.
En 1882, le Paillon est recouvert, permettant ainsi en 1884, la construction, à l'est, du casino municipal.
La place, aujourd'hui, sous l'impulsion de l'architecte urbaniste Bruno Fortier, est rendue aux piètons; les «Trophées de l'aménagement urbain» récompensent les nouveaux amènagements, en avril 2008, par une mention spéciale.
La place est délimitée,
- au nord, par les bâtiments en arcades, définis par le Consiglio d'Ornato en 1852;
- au sud, par la fontaine du Soleil, mise en place en 1956, démontée en 1990, réinstallée en 2007, la (à l'occasion de l'arrivée de ligne 1 du tramway), terminée le 21 juin 2011 par le retour de l'Apollon d'Alfred Janniot;
- à l'est, par l'espace Jacques Médecin, aménagé sur l'emplacement de l'ancien casino municipal démoli en 1979;
- à l'ouest, par le jardin Albert 1^er.
L'artiste catalan, Jaume Plensa, a aménagé dans le cadre de la construction du tramway, son œuvre «Conversation à Nice» : sept sculptures en résine translucides illuminées de couleurs changeantes, fixées sur des mâts, représentent les sept continents.

Aujourd’hui, la nouvelle Promenade du Paillon remplace les anciens forum Jacques Médecin, square Général Leclerc, espace Masséna, Jardin Albert 1^er, et square Yitzhak Rabin de part et d’autre de la place Masséna.

- 25 - LA PROMENADE DU PAILLON - LA PLACE MASSENA

A propos de la photo 25 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LA PLACE MASSENA

Les plans du Consiglio d'Ornato prévoient en 1832 la création de deux places, situées de chaque côté du Paillon, et reliées par le pont Saint-Charles, datant de 1824. En fait, la place est la réunion de la place Charles-Albert, en bordure du Vieux Nice, datant des années 1820-1830, et de la place Masséna, aménagée par Joseph Vernier de l'autre côté du Paillon, datant des années 1840-1850. Joseph Vernier prévoyait l'édification de l'église Notre-Dame-des-Grâces au nord; mais le Consiglio d'Ornato abandonne le projet, et l'église du Vœu est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste.
Nommée place du Faubourg, puis place Carrée, elle devient officiellement place Masséna en 1852; elle est achevée en 1860, pour la visite de Napoléon III.
En 1882, le Paillon est recouvert, permettant ainsi en 1884, la construction, à l'est, du casino municipal.
La place, aujourd'hui, sous l'impulsion de l'architecte urbaniste Bruno Fortier, est rendue aux piètons; les «Trophées de l'aménagement urbain» récompensent les nouveaux amènagements, en avril 2008, par une mention spéciale.
La place est délimitée,
- au nord, par les bâtiments en arcades, définis par le Consiglio d'Ornato en 1852;
- au sud, par la fontaine du Soleil, mise en place en 1956, démontée en 1990, réinstallée en 2007, la (à l'occasion de l'arrivée de ligne 1 du tramway), terminée le 21 juin 2011 par le retour de l'Apollon d'Alfred Janniot;
- à l'est, par l'espace Jacques Médecin, aménagé sur l'emplacement de l'ancien casino municipal démoli en 1979;
- à l'ouest, par le jardin Albert 1^er.
L'artiste catalan, Jaume Plensa, a aménagé dans le cadre de la construction du tramway, son œuvre «Conversation à Nice» : sept sculptures en résine translucides illuminées de couleurs changeantes, fixées sur des mâts, représentent les sept continents.

Aujourd’hui, la nouvelle Promenade du Paillon remplace les anciens forum Jacques Médecin, square Général Leclerc, espace Masséna, Jardin Albert 1^er, et square Yitzhak Rabin de part et d’autre de la place Masséna.

- 26 - LA PROMENADE DU PAILLON - L'ARC DE 115.5 DEGRES DE BERNAR VENET

A propos de la photo 26 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L'ARC DE 115.5 DEGRES DE BERNAR VENET

A l’emplacement de l’ancien jardin Albert 1^er, l'arc de 115.5 degrés de Bernar Venet conserve sa place. Cette sculpture monumentale a été inaugurée le 26 juillet 1988 par le maire de Nice en commémoration du centenaire de l'appellation  «Côte d'Azur».

- 27 - LA PROMENADE DU PAILLON - L'ARC DE 115.5 DEGRES DE BERNAR VENET

A propos de la photo 27 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L'ARC DE 115.5 DEGRES DE BERNAR VENET

A l’emplacement de l’ancien jardin Albert 1^er, l'arc de 115.5 degrés de Bernar Venet conserve sa place. Cette sculpture monumentale a été inaugurée le 26 juillet 1988 par le maire de Nice en commémoration du centenaire de l'appellation  «Côte d'Azur».

- 28 - LA PROMENADE DU PAILLON - L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

A propos de la photo 28 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

La promenade du Paillon rejoint la Promenade des Anglais.

- 29 - LA PROMENADE DU PAILLON - L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

A propos de la photo 29 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

La promenade du Paillon rejoint la Promenade des Anglais.
A droite apparait le monument du Centenaire de l’espace Jacques Cotta.
Jacques Cotta, (1908 – 1971), est maire de Nice de 1945 à 1947.
Inauguré en 1896 par le président de la république Félix Faure, le monument du Centenaire, œuvre d'André Joseph Allar (1845-1925, Grand Prix de Rome 1869, membre de l'Académie des Beaux-arts en 1905), commémore le centenaire de l'annexion de Nice par la France, (décret de la Convention du 4 février 1793).

- 30 - LA PROMENADE DU PAILLON - L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

A propos de la photo 30 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

La promenade du Paillon rejoint la Promenade des Anglais.

- 31 - LA PROMENADE DU PAILLON - L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

A propos de la photo 31 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L’ANCIEN JARDIN ALBERT 1 ^er

La promenade du Paillon rejoint la promenade des Anglais.

- 32 - LA PROMENADE DU PAILLON - L'ARC DE 115.5 DEGRES DE BERNAR VENET

A propos de la photo 32 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
L'ARC DE 115.5 DEGRES DE BERNAR VENET

A l’emplacement de l’ancien jardin Albert 1^er, l'arc de 115.5 degrés de Bernar Venet conserve sa place. Cette sculpture monumentale a été inaugurée le 26 juillet 1988 par le maire de Nice en commémoration du centenaire de l'appellation  «Côte d'Azur».

- 33 - LA PROMENADE DU PAILLON - ALBERT 1^er ROI DES BELGES

A propos de la photo 33 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
ALBERT 1^er ROI DES BELGES

En 1914, le jardin est baptisé du nom du roi des Belges, Albert 1er, en hommage à sa position courageuse face à l'Allemagne.

- 34 - LA PROMENADE DU PAILLON - FONTAINE DES TROIS GRACES

A propos de la photo 34 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
FONTAINE DES TROIS GRACES

Les trois Grâces, Euphrosyne, Aglaé et Thalie sont l’œuvre d’Antoniucci Volti.
Antoniucci Volti (1915-1989), est sculpteur, dessinateur et graveur. Il est ancien élève de l’école des arts décoratifs de Nice, et de l’école nationale des Beaux-Arts de Paris. Il consacre toute son oeuvre à glorifier la femme, dans la lignée des Maillol, Bourdelle ou Rodin.

- 35 - LA PROMENADE DU PAILLON - FONTAINE DES TROIS GRACES

A propos de la photo 35 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
FONTAINE DES TROIS GRACES

Les trois Grâces, Euphrosyne, Aglaé et Thalie sont l’œuvre d’Antoniucci Volti.
Antoniucci Volti (1915-1989), est sculpteur, dessinateur et graveur. Il est ancien élève de l’école des arts décoratifs de Nice, et de l’école nationale des Beaux-Arts de Paris. Il consacre toute son oeuvre à glorifier la femme, dans la lignée des Maillol, Bourdelle ou Rodin.

- 36 - LA PROMENADE DU PAILLON - LA FONTAINE DES TRITONS

A propos de la photo 36 :

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LA FONTAINE DES TRITONS

« Les Tritons », œuvre anonyme, sont ramenés de Grèce au début du XIX^ème siècle par la famille Lascaris, et remis à la municipalité pour en faire une fontaine place Saint Jean Baptiste. En 1852, elle est démolie, et en 1866, réinstallée définitivement sur un bassin en marbre dans le jardin Albert 1^er. Elle est classée Monument historique le 24 août 1920.

- 37 - LA PROMENADE DU PAILLON - LA FONTAINE DES TRITONS

A propos de la photo 37 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LA FONTAINE DES TRITONS

« Les Tritons », œuvre anonyme, sont ramenés de Grèce au début du XIX^ème siècle par la famille Lascaris, et remis à la municipalité pour en faire une fontaine place Saint Jean Baptiste. En 1852, elle est démolie, et en 1866, réinstallée définitivement sur un bassin en marbre dans le jardin Albert 1^er. Elle est classée Monument historique le 24 août 1920.

- 38 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE KIOSQUE A MUSIQUE

A propos de la photo 38 :

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LE KIOSQUE A MUSIQUE

Le kiosque à musique est installé en 1868, mais c'est en 1866, que l'orchestre d'Harmonie de la Ville de Nice est créé.

- 39 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE TIGRE DE NICE

A propos de la photo 39 :

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LE TIGRE DE NICE

Le sculpteur animalier Clovis Masson (1838-1913) est l’auteur au 19e siècle de ce « Tigre terrassant une antilope.
Au loin, apparait le monument du Centenaire de l’espace Jacques Cotta.
Jacques Cotta, (1908 – 1971), est maire de Nice de 1945 à 1947.
Inauguré en 1896 par le président de la république Félix Faure, le monument du Centenaire, œuvre d'André Joseph Allar (1845-1925, Grand Prix de Rome 1869, membre de l'Académie des Beaux-arts en 1905), commémore le centenaire de l'annexion de Nice par la France, (décret de la Convention du 4 février 1793).

- 40 - LA PROMENADE DU PAILLON - LE MONUMENT DU CENTENAIRE

A propos de la photo 40 :

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LA PROMENADE DU PAILLON
LE MONUMENT DU CENTENAIRE

Le monument du Centenaire est sur l’espace Jacques Cotta (1908 – 1971, maire de Nice de 1945 à 1947).
Inauguré en 1896 par le président de la république Félix Faure, le monument du Centenaire, œuvre d'André Joseph Allar (1845-1925, Grand Prix de Rome 1869, membre de l'Académie des Beaux-arts en 1905), commémore le centenaire de l'annexion de Nice par la France, (décret de la Convention du 4 février 1793).