LE COMTE DE NICE EN IMAGES - NICE, LA FESTA DÓU VOUT

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LA FESTA DÓU VOUT

LA FESTA DÓU VOUT Le 25 avril 1832, le conseil municipal fait le vœu de construire une église dédiée à Notre Dame des Grâces, qui protégea Nice du choléra, et de célébrer, chaque année, le souvenir de cette intervention divine, par une procession solennelle menée par la municipalité.

Initialement, son emplacement est prévu au nord de la place Masséna, alors aménagée par Joseph Vernier ; mais le Consiglio d'Ornato, sous la pression des propriétaires riverains, abandonne le projet : l’église du Vœu est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste. L’architecte Charles Mosca la conçoit dans le style néo-classique, en 1852.
C’est ainsi que chaque année, généralement au mois de mai, le maire de Nice renouvelle le Vœu de ses prédécesseurs et conduit la procession : c'est la« Festa Dóu Vout », « la fête Du Vœu ».
La décoration intérieure provient en grande partie du couvent des Augustins déchaux édifié à l’emplacement du Lycée Masséna ; la Madone des Grâces est célèbrée par le tableau du maître-autel : « Le Vœu de Nice » peint par Edouard-Gaspard Hauser en 1862.
A l’extérieur, sous la représentation de la « Foi » au sommet de la façade, le fronton du porche est orné des armes de Nice, « signature » de l’origine municipale de l’édifice. Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée, et participera à la procession.

Voici le texte du renouvellement du Vœu prononcé, en français et en niçois par le Maire de Nice en présence de Mgr Louis Sankalé, évêque de Nice, (texte remis aux participants) :

« LE VœU DE NICE

Le 25 avril 1832, la cloche de la Tour Saint-François avait sonné, annonçant selon un vieil usage, la réunion du Conseil Communal.

Les trois consuls assistés des nouveaux conseillers, se réunissent dans la maison commune « le Palais de Ville », Place Saint-François. Tous paraissaient préoccupés et soucieux car l'état sanitaire de la population, qui comportait 36 000 âmes les inquiétait.

A Paris, durant l'hiver, le choléra avait fait de nombreuses victimes. Il avait atteint Marseille et Toulon.

Après en avoir délibéré avec le Conseil, le Premier Consul, le Comte Louis Alexandre Saïssi de Châteauneuf fît adopter une motion demandant l'intercession divine.

Par acclamation, le Consul voulut y ajouter un vœu solennel décidant de faire construire une église consacrée à Notre-Dame des Grâces.

Cette délibération sera ratifiée en l'an de Grâce 1832 le 27 mai, en la Cathédrale de Nice, par Monseigneur Jean-Baptiste Colonna d'Istria, entouré des révérends chanoines, du conseil municipal et du peuple de Nice.

Dans la décision du Conseil, il était stipulé que chaque année, les consuls représentant la population, assisteraient aux cérémonies religieuses, qu'un triduum serait chanté, qu'une procession suivrait à laquelle assisteraient tout le clergé et les confréries de la Ville.

Moi, Christian ESTROSI, successeur des consuls de Nice, au nom du conseil municipal et du peuple de Nice, renouvelle ce vœu et confie les destinées de la Ville à Notre-Dame des Grâces.

Nice, le Dimanche 24 mai 2009 »

Le même texte, pronnoncé en niçois :

« LOU VOUT DE NISSA

Lou vinta-cinq d'abriéu dôu mil vuech cent trenta-doui, la campana de la tour San Frances avia sounat per anounçà, segoun un'antica usança, la radunança dôu Counsèu coumunal.

Lu très Cônsou assistât dei nouvèu counseié, si raduneron en la maioun dôu Palai Coumunal, aqui, en plassa San Frances.

Toui pareission enquiet per l'estat sanitari de la poupulacioun nissarda que countava trenta-siei mil anima.

A Paris, mentre l'invern, lou côlera avia fach touplen de vitima. Avia toucat Marsilha e Touloun.

Après n'avé délibérât me lou Counsèu, lou Comte Louis-Sandrou Saïssi de Casternôu faguet adoutà una délibéra demandant rinterchessioun divina.

Per aclamacioun, lou Consou li vourguet ajougne un vout soulènne dechidant de faire basti una glèia counsacrada à Nouôstra Dama de li Gracia.

Aquesta deliberacioun sera ratifîcada en l'an de gracia dôu mil vuech cent trenta-doui, lou vinta-set de mai, en la catedrala de Nissa, da Mounsignour Jouan-Batista Colôna Distria entourât dei révèrent Canounge, dôu Counsèu coumunal e dôu poble de Nissa.

En la dechisioun dôu Counsèu, èra noutifîat que cad'an, lu Consou rapresentant la poupulacioun, assisterion ai cerimônia religiouhi, qu'una Tridua séria cantada, seguida d'una prouchessioun me tout lou Clèrou e li Counfraria de la Vila.

léu, Cristian Estrosi, suchessour dei Consou de Nissa, au noum dôu Counsèu coumunal renouvèli aquestou vout e counfîdi li destinada de la Vila à Nouôstra Dama de li Gracia.

Nissa, lou Dimenègue 24 mai 2009 »

Les fêtes traditionnelles - 01 - LA FESTA DÓU VOUT - EGLISE DU VœU

A propos de la photo 01 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
EGLISE DU VœU

L’église de la Madone des Grâces, paroisse Saint-Jean-Baptiste, dite église du Vœu, est construite sur le quai Saint-Jean-Baptiste. L’architecte Charles Mosca la conçoit dans le style néo-classique, en 1852. La décoration intérieure provient en grande partie du couvent des Augustins déchaux édifié à l’emplacement du Lycée Masséna ; la Madone des Grâces est célèbrée par le tableau du maître-autel : « Le Vœu de Nice » peint par Edouard-Gaspard Hauser en 1862.
A l’extérieur, sous la représentation de la « Foi » au sommet de la façade, le fronton du porche est orné des armes de Nice, « signature » de l’origine municipale de l’édifice.

Les fêtes traditionnelles - 02 - LA FESTA DÓU VOUT - EGLISE DU VœU

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Les fêtes traditionnelles - 03 - LA FESTA DÓU VOUT - LA MESSE DU RENOUVELLEMENT DU VœU

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Les fêtes traditionnelles - 04 - LA FESTA DÓU VOUT - LA MESSE DU RENOUVELLEMENT DU VœU

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Les fêtes traditionnelles - 05 - LA FESTA DÓU VOUT - LA MESSE DU RENOUVELLEMENT DU VœU

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LA MESSE DU RENOUVELLEMENT DU VœU

La décoration intérieure de l’église de la Madone des Grâces, paroisse Saint-Jean-Baptiste, dite église du Vœu, provient en grande partie du couvent des Augustins déchaux édifié à l’emplacement du Lycée Masséna ; la Madone des Grâces est célèbrée par le tableau du maître-autel : « Le Vœu de Nice » peint par Edouard-Gaspard Hauser en 1862.

Voici le texte du renouvellement du Vœu prononcé, en français et en niçois par le Maire de Nice en présence de Mgr Louis Sankalé, évêque de Nice, (texte remis aux participants) :

« LE VœU DE NICE

Le 25 avril 1832, la cloche de la Tour Saint-François avait sonné, annonçant selon un vieil usage, la réunion du Conseil Communal.

Les trois consuls assistés des nouveaux conseillers, se réunissent dans la maison commune « le Palais de Ville », Place Saint-François. Tous paraissaient préoccupés et soucieux car l'état sanitaire de la population, qui comportait 36 000 âmes les inquiétait.

A Paris, durant l'hiver, le choléra avait fait de nombreuses victimes. Il avait atteint Marseille et Toulon.

Après en avoir délibéré avec le Conseil, le Premier Consul, le Comte Louis Alexandre Saïssi de Châteauneuf fît adopter une motion demandant l'intercession divine.

Par acclamation, le Consul voulut y ajouter un vœu solennel décidant de faire construire une église consacrée à Notre-Dame des Grâces.

Cette délibération sera ratifiée en l'an de Grâce 1832 le 27 mai, en la Cathédrale de Nice, par Monseigneur Jean-Baptiste Colonna d'Istria, entouré des révérends chanoines, du conseil municipal et du peuple de Nice.

Dans la décision du Conseil, il était stipulé que chaque année, les consuls représentant la population, assisteraient aux cérémonies religieuses, qu'un triduum serait chanté, qu'une procession suivrait à laquelle assisteraient tout le clergé et les confréries de la Ville.

Moi, Christian ESTROSI, successeur des consuls de Nice, au nom du conseil municipal et du peuple de Nice, renouvelle ce vœu et confie les destinées de la Ville à Notre-Dame des Grâces.

Nice, le Dimanche 24 mai 2009 »

Le même texte, pronnoncé en niçois :

« LOU VOUT DE NISSA

Lou vinta-cinq d'abriéu dôu mil vuech cent trenta-doui, la campana de la tour San Frances avia sounat per anounçà, segoun un'antica usança, la radunança dôu Counsèu coumunal.

Lu très Cônsou assistât dei nouvèu counseié, si raduneron en la maioun dôu Palai Coumunal, aqui, en plassa San Frances.

Toui pareission enquiet per l'estat sanitari de la poupulacioun nissarda que countava trenta-siei mil anima.

A Paris, mentre l'invern, lou côlera avia fach touplen de vitima. Avia toucat Marsilha e Touloun.

Après n'avé délibérât me lou Counsèu, lou Comte Louis-Sandrou Saïssi de Casternôu faguet adoutà una délibéra demandant rinterchessioun divina.

Per aclamacioun, lou Consou li vourguet ajougne un vout soulènne dechidant de faire basti una glèia counsacrada à Nouôstra Dama de li Gracia.

Aquesta deliberacioun sera ratifîcada en l'an de gracia dôu mil vuech cent trenta-doui, lou vinta-set de mai, en la catedrala de Nissa, da Mounsignour Jouan-Batista Colôna Distria entourât dei révèrent Canounge, dôu Counsèu coumunal e dôu poble de Nissa.

En la dechisioun dôu Counsèu, èra noutifîat que cad'an, lu Consou rapresentant la poupulacioun, assisterion ai cerimônia religiouhi, qu'una Tridua séria cantada, seguida d'una prouchessioun me tout lou Clèrou e li Counfraria de la Vila.

léu, Cristian Estrosi, suchessour dei Consou de Nissa, au noum dôu Counsèu coumunal renouvèli aquestou vout e counfîdi li destinada de la Vila à Nouôstra Dama de li Gracia.

Nissa, lou Dimenègue 24 mai 2009 »

Les fêtes traditionnelles - 06 - LA FESTA DÓU VOUT - LE DEPART DE LA PROCESSION

A propos de la photo 06 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LE DEPART DE LA PROCESSION

Photo Michèle Maurin
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 07 - LA FESTA DÓU VOUT - LA PROCESSION

A propos de la photo 07 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LA PROCESSION

Le lycée Masséna.
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 08 - LA FESTA DÓU VOUT - LA PROCESSION

A propos de la photo 08 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LA PROCESSION

Photo Michèle Maurin
La promenade des Arts.
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 09 - LA FESTA DÓU VOUT - LA PROCESSION

A propos de la photo 09 :

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Les fêtes traditionnelles - 10 - LA FESTA DÓU VOUT - LA PROCESSION

A propos de la photo 10 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LA PROCESSION

Devant la place Saint François.
.Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 11 - LA FESTA DÓU VOUT - LA PROCESSION

A propos de la photo 11 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LA PROCESSION

La promenade des Arts.
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 12 - LA FESTA DÓU VOUT - LA PROCESSION

A propos de la photo 12 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LA PROCESSION

Le palais Audiberti de Saint Etienne.
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 13 - LA FESTA DÓU VOUT - LE RETOUR DE LA PROCESSION

A propos de la photo 13 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LE RETOUR DE LA PROCESSION

Présentation de la Madone du Vœu aux élus.
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 14 - LA FESTA DÓU VOUT - LE RETOUR DE LA PROCESSION

A propos de la photo 14 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LE RETOUR DE LA PROCESSION

Mgr Louis Sankalé, évêque de Nice.
Le groupe processionnel, dédié à la Madone du Vœu, sculpté en 1866, pèse près de 700 kilos ; cette année, une nouvelle madone plus légère, sculptée au Tyrol, est présentée; elle participe à la procession, portée et accompagnée par les archiconfréries des pénitents Blancs, des Pénitents Noirs, et des Pénitents Rouges.

Les fêtes traditionnelles - 15 - LA FESTA DÓU VOUT - LOU CAIRÈU NISSART

A propos de la photo 15 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LOU CAIRÈU NISSART

Photo Michèle Maurin
Lou Cairèu Nissart est une association destinée à sauvegarder les traditions et le folklore du comté de Nice ; fondé en 1947, le groupe comprend quarante danseurs et dix musiciens.
Les costumes, conçus en 1948 par le conservateur du musée Masséna, représentent les habits de fête des niçois au XVIII^ème siècle.
Pour les femmes :
- jupe de tissu rouge ou bleu à motif d’abeilles sur plusieurs jupons ;
- chemisier blanc en dentelle ;
- corset en velours noir ;
- tablier et châle brodés ;
- coiffe, la « capelina », de forme plate, est en paille tressée de couleur naturelle, bordée de velours noir avec trois croix sur le dessus ;
- bonnet rouge et dentelle blanche : le « Cairèu ».
Pour les hommes
- chemise blanche ;
- gilet rouge ;
- pantalon blanc avec une large ceinture de coton rouge la « taiola ».

Les fêtes traditionnelles - 16 - LA FESTA DÓU VOUT - LOU CAIRÈU NISSART

A propos de la photo 16 :

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Les fêtes
Les fêtes traditionnelles
LA FESTA DÓU VOUT
LOU CAIRÈU NISSART

Lou Cairèu Nissart est une association destinée à sauvegarder les traditions et le folklore du comté de Nice ; fondé en 1947, le groupe comprend quarante danseurs et dix musiciens.
Les costumes, conçus en 1948 par le conservateur du musée Masséna, représentent les habits de fête des niçois au XVIII^ème siècle.
Pour les femmes :
- jupe de tissu rouge ou bleu à motif d’abeilles sur plusieurs jupons ;
- chemisier blanc en dentelle ;
- corset en velours noir ;
- tablier et châle brodés ;
- coiffe, la « capelina », de forme plate, est en paille tressée de couleur naturelle, bordée de velours noir avec trois croix sur le dessus ;
- bonnet rouge et dentelle blanche : le « Cairèu ».
Pour les hommes
- chemise blanche ;
- gilet rouge ;
- pantalon blanc avec une large ceinture de coton rouge la « taiola ».