A propos de la route du baroque dans le Comté de Nice,
L'ESCARENE

L'art baroque, né en Italie à la fin du XVI^ème siècle, s’étend rapidement à tous les pays catholiques d’Europe et aussi d’Amérique du Sud, grâce à la colonisation espagnole.
La Ligurie est envahie par la vague baroque, alors que la France, fidèle à son classicisme, la refuse. Mais depuis 1388, le comté de Nice, Monaco, et Menton, font partie de la Maison de Savoie (Turin étant la capitale), et sont ainsi soumis à l’influence baroque.
Dans le Comté de Nice, la route du Baroque remonte jusque dans les hautes vallées de la Vésubie, de la Tinée et de La Roya ; sur le littoral, elle suit les trois Corniches de Nice à Menton, en passant par Villefranche sur Mer, Eze ou La Turbie ; dans Nice, c’est le Vieux-Nice historique qui offre un patrimoine baroque inestimable, avec ses palais et ses édifices religieux.
(Voir le plan Plan de la route du baroque).

Dans cette série, chaque semaine, la visite de ces monuments, sera l’occasion de découvrir le Vieux-Nice et certains des plus beaux villages du haut pays niçois.

Aujourd'hui notre étape est L'ESCARENE :
à 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende.

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. ».

LA ROUTE DU BAROQUE - 01 - L'ESCARENE - VUE GENERALE

A propos de la photo 01 :

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Autour de Nice
LA ROUTE DU BAROQUE
L'ESCARENE
VUE GENERALE

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 02 - L'ESCARENE - VUE GENERALE

A propos de la photo 02 :

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VUE GENERALE

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 03 - L'ESCARENE - LES RUELLES MEDIEVALES

A propos de la photo 03 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 04 - L'ESCARENE - LES RUELLES MEDIEVALES

A propos de la photo 04 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 05 - L'ESCARENE - LES RUELLES MEDIEVALES

A propos de la photo 05 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 06 - L'ESCARENE - LES RUELLES MEDIEVALES

A propos de la photo 06 :

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LES RUELLES MEDIEVALES

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 07 - L'ESCARENE - LES RUELLES MEDIEVALES

A propos de la photo 07 :

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LA ROUTE DU BAROQUE
L'ESCARENE
LES RUELLES MEDIEVALES

A 370 mètres d’altitude, dans la vallée du Paillon, l’Escarene, étape importante de la route du sel reliant la Provence au Piémont, prend un essor important grâce à la construction en 1624, de la route Royale Nice-Turin passant par le col de Tende ; c'est aussi une gare de la ligne S.N.C.F. Nice-Coni, et une étape du train des Merveilles.

LA ROUTE DU BAROQUE - 08 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 08 :

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LA ROUTE DU BAROQUE
L'ESCARENE
EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 09 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 09 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 10 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 10 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 11 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 11 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 12 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 12 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 13 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 13 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 14 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 14 :

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L'ESCARENE
EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 15 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 15 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 16 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 16 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 17 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 17 :

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L'ESCARENE
EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE - 18 - L'ESCARENE - EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

A propos de la photo 18 :

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EGLISE SAINT PIERRE ES LIENS

L’église originelle datée de 1037, devient une dépendance de l’abbaye de Saint Pons de Nice en 1074. Partiellement détruite au XVème siècle par un tremblement de terre et un incendie, elle sera détruite en 1792 par le roi de Sardaigne.
Auteur également de la Cathédrale Saint Michel à Sospel, de la cathédrale Sainte Réparate et des églises du Jésus et de Saint François de Paule, à Nice, l’architecte Jean André Guibert entreprend la construction de l’église actuelle entre 1642 et 1660 ;
Une pancarte des « Monuments Historiques » à l’entrée du bâtiment explique :
« Le parti adopté par l'architecte, Jean André Guibert, est clairement lisible. Un rythme ternaire, celui de la Trinité, se dégage d'emblée. La façade de l'église présente une travée médiane très décorée, en légère avancée, et deux travées latérales, en retrait, plus discrètes. Les deux chapelles des Pénitents qui jouxtent l'église, reprennent ce schéma et l'amplifient, la façade de l'église jouant alors le rôle de la travée médiane.
A l'intérieur, l'Orgue des frères Grinda (1791) permet, par la richesse de son unique clavier, l'interprétation d'un vaste répertoire. »

LA ROUTE DU BAROQUE DANS LE COMTE DE NICE

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