A propos de la route du baroque dans le Comté de Nice,
l'étape de NICE, LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

L'art baroque, né en Italie à la fin du XVI ^ème siècle, s’étend rapidement à tous les pays catholiques d’Europe et aussi d’Amérique du Sud, grâce à la colonisation espagnole.
La Ligurie est envahie par la vague baroque, alors que la France, fidèle à son classicisme, la refuse. Mais depuis 1388, le comté de Nice, Monaco, et Menton, font partie de la Maison de Savoie (Turin étant la capitale), et sont ainsi soumis à l’influence baroque.
Dans le Comté de Nice, la route du Baroque remonte jusque dans les hautes vallées de la Vésubie, de la Tinée et de La Roya ; sur le littoral, elle suit les trois Corniches de Nice à Menton, en passant par Villefranche sur Mer, Eze ou La Turbie ; dans Nice, c’est le Vieux-Nice historique qui offre un patrimoine baroque inestimable, avec ses palais et ses édifices religieux.
(Voir le plan Plan de la route du baroque).

Dans cette série, chaque semaine, la visite de ces monuments, sera l’occasion de découvrir le Vieux-Nice et certains des plus beaux villages du haut pays niçois.

Aujourd'hui notre étape est à Nice, la chapelle de la Miséricorde, sur le cours Saleya, entre le palais des rois sardes (la préfecture aujourd’hui), et le quai Rauba Capéu.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.

LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 01 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

A propos de la photo 01 :

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Autour de Nice
LA ROUTE DU BAROQUE
NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue de la Colline du Château, la chapelle, au centre du Cours Saleya et son marché.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 02 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

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Autour de Nice
LA ROUTE DU BAROQUE
NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue extérieure de la chapelle ; juste derrière, la façade du palais de la préfecture.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 03 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

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LA ROUTE DU BAROQUE
NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue extérieure de la chapelle ; les fenêtres du couvent des étages supérieurs sont visibles sur la façade.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 04 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

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NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue à partir d'une fenêtre du palais de la préfecture ; lLes oculus et les fenêtres du couvent des étages supérieurs sont visibles sur la façade.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 05 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

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NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue intérieure de la chapelle.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 06 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

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NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue intérieure de la chapelle.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 07 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

A propos de la photo 07 :

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LA ROUTE DU BAROQUE
NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue intérieure de la chapelle.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.
Les oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 08 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

A propos de la photo 08 :

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LA ROUTE DU BAROQUE
NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue intérieure de la chapelle.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.

LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

LA ROUTE DU BAROQUE - 09 - NICE. - LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

A propos de la photo 09 :

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LA ROUTE DU BAROQUE
NICE.
LA CHAPELLE DE LA MISERICORDE

Vue intérieure de la chapelle.

L'ordre religieux des Théatins, (fondé en 1521 à Rome par Gaétan de Thiène), construisent au sein de leur couvent, cette chapelle Saint Gaétan dite de la Miséricorde ; commencée en 1740, elle sera achevée en 1786.

LLes oculus latéraux sont placés de biais, et favorisent ainsi la pénétration de la lumière dans la nef ; cette dernière, ainsi que les chapelles latérales, sont de forme elliptique et décorées de nombreuses frises et stucs dorés, ou peintes de faux marbres. Les peintures du XIX^ème siècle sont du peintre niçois Bistolfi.

L’originalité de l’édifice est d’intégrer le couvent dans les étages; il servit plus tard de magasin, bibliothèque et même de théâtre sous la Révolution. Ce n'est qu'en 1828 que la chapelle est reprise par l'archiconfrérie des Pénitents Noirs de la Miséricorde, qui entreprennent sa restauration intérieure jusqu'en 1829.

La Sacristie renferme deux œuvres majeures : une Vierge de la Miséricorde signée Milhareti, datant des environs de 1430, et une autre signée Louis Bréa, datant de 1485.
Le clocher ne fut jamais achevé, mais l'édifice reste l’un des dix plus beaux monuments de style baroque au monde.
L'intérieur de la chapelle est classé au titre des Monuments historiques depuis le 30 mai 1921.

Localisation des chapitres du Guide du Vieux-Nice

NICE