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INDISCIPLINES 09

INDISCIPLINES 09Le site de « INDISCIPLINES 09 » définit ainsi l’esprit de la manifestation :
« A quoi ressemblerait la ville si les artistes s'en emparaient ? Du 15 mai au 15 juin, Indisciplines vous invite à partager cette expérience étonnante d'un paysage urbain repensé par 25 jeunes plasticiens internationaux.
Sculptures, peintures, installations, œuvres monumentales ou intimes, suivez le parcours, au gré des rues, façades et jardins, et découvrez Nice comme vous ne l'aviez jamais vu, le temps d'une utopie. »

Pour mieux comprendre les quelques œuvres présentées, les commentaires sont ceux repris sur le site de la manifestation.

 

 


INDISCIPLINES 09
L'art dans la ville - 01 - INDISCIPLINES 09 - « PHII »


A propos de la photo 01 :

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INDISCIPLINES 09
« PHII »

Chambre de Commerce et d'Industrie NICE COTE D'AZUR - 20 Boulevard carabacel.
œuvre de Magali Daniaux et Cédric Pigot.
« Phii est une installation plastique, sonore et olfactive librement inspirée du culte des esprits, une tradition animiste ultra-répandue en asie du sud-est. Les Phii sont des esprits malveillants et voyageurs que l’on garde à distance de sa demeure. Pour cela, le propriétaire construit une maison traditionnelle miniature montée sur 1 ou 4 piliers. Cette maison, placée à l’extérieur de la sienne, près de la porte principale, abrite les Seigneurs des lieux, les Chao Thi, chargés de repousser les Phi. Ils sont symbolisés par de petites figurines et on leur offre quotidiennement fruits, fleurs, sodas, encens... pour s’assurer de leur bonne coopération. Notre Phii house est re-codée, destinée à voyager à travers le monde et à s’enrichir au fur et à mesure de ses escales. Sa structure est construite en acier composite et bois. actuellement elle est pourvue d’une odeur qui se décline en attaque, en coeur et en fond selon un éventail chromatique et diffusée de manière séquentielle toutes les 15 minutes par une machine installée sur le fronton, d’un bout de tôle magnétique, d’une reproduction miniature de la « chaise » de Josef Beuys et d’une échelle. »
Extrait du site de « INDISCIPLINES 09 ».

 

 


INDISCIPLINES 09
L'art dans la ville - 02 - INDISCIPLINES 09 - « FLIPPER »


A propos de la photo 02 :

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« FLIPPER »

Cour du palais de la préfecture, rue Alexandre Mari
œuvre de David Ancelin.
« Cette structure de 5 m de haut a été conçue pour entrer en résonnance avec une architecture existante. Rencontre entre matériaux de l’architecture moderne et l’image d’un flipper improbable, cette installation traversée d’une guirlande électrique multicolore joue sur des notions d’équilibre, de fragilité mais aussi de reflets ou de transparences. « Ce rapport d’échelle implique une double modification : structurelle tout d’abord, puisque la pièce bascule dans le champ du squelette architectural avec l’utilisation de matériaux de construction issus du bâtiment. Humaine ensuite, par son rapport au spectateur, devenu pour un temps inadapté, dépassé, inquiet ou émerveillé. Car il y a évidemment une relation au merveilleux qui parcourt ce flipper. Une sorte de fin de fête triste, une poésie nostalgique.(1) »
C’est par ces aller-retour sémantiques que se créent alors des dialogues incongrus entre la sculpture présentée et le lieu qu’elle investit. Le passant se trouve alors confronté à une situation décalée et hors-norme au coeur de l’espace urbain.
(1) Benjamin Bianciotto. »

Extrait du site de « INDISCIPLINES 09 ».

 

 


INDISCIPLINES 09
L'art dans la ville - 03 - INDISCIPLINES 09 - « SPIN OFF BLOKUS »


A propos de la photo 03 :

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INDISCIPLINES 09
« SPIN OFF BLOKUS »

place Masséna
œuvre de Johanna Fournier.
« Spin off Blokus est un jeu de formes géométriques en couleurs, qui s'emboîtent à la fois entre elles et avec les bancs de la place Masséna. Au départ, le mobilier désigné est vide de toute pièce. Les volumes posés par la suite doivent toucher par au moins un angle, le banc ou une autre forme. Des pièces de même couleur ne peuvent jamais se toucher par un côté. La partie s'achève lorsque le joueur ne souhaite plus poser de pièce. Les pièces restantes seront dispersées, perdues ici et là. Attentive à la définition de l’espace et de ses usages, Johanna Fournier réalise des volumes et des installations ayant pour objectif de modifier les dynamiques des lieux et d’interroger les notions de territoire et de support. Les éléments qu’elle fabrique s’apparentent à des formes simples où les notions d’utilité et de fonctionnalité sont remises en question. L’observation des caractéristiques formelles des bancs ainsi que leur implantation sur la place Masséna lui ont permis d’envisager ce projet. Le banc est à la fois envisagé en tant que mobilier, forme et support. Il s’agit d’une part de le prolonger, d’ajouter des nouvelles formes et d’autre part de s’emparer du banc, le rendant à la fois inutilisable et sculpturale. »
Extrait du site de « INDISCIPLINES 09 ».

 

 


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L'art dans la ville - 04 - INDISCIPLINES 09 - « INSTALLATION »


A propos de la photo 04 :

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« INSTALLATION »

13 Promenade des Anglais (Palais de la Méditerranée)
œuvre de Laurette Atrux-Tallau.
« L’œuvre de Laurette Atrux-Tallau est pleine de fantaisie et d’espièglerie. Elle découle d’une patiente expérimentation de formes ou de matériaux communs, qui, par leur multiplication et leur accumulation, perdent leurs identités propres. Ce qui n’était qu’une boule en polystyrène et des piques en bambou devient une masse, un volume, un tissu. au départ d’un module unique dupliqué, elle parvient à créer une forme envahissante, une coulée, un flux. Un rassemblement tendre de curieux oursins s’enlacent, s’enchevêtrent. Chaque installation donne lieu à une version totalement différente de la pièce, qui occupe parfaitement l’espace dans lequel elle s’inscrit. L’artiste privilégie toutefois une sorte d’inconfort.
L’œuvre est en tension avec l’architecture, elle obstrue le passage et doit être frôlée.
Christophe Veys »

Extrait du site de « INDISCIPLINES 09 ».

 

 


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L'art dans la ville - 05 - INDISCIPLINES 09 - « INSTALLATION »


A propos de la photo 05 :

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INDISCIPLINES 09
« INSTALLATION »

13 Promenade des Anglais (Palais de la Méditerranée)
œuvre de Laurette Atrux-Tallau.
« L’œuvre de Laurette Atrux-Tallau est pleine de fantaisie et d’espièglerie. Elle découle d’une patiente expérimentation de formes ou de matériaux communs, qui, par leur multiplication et leur accumulation, perdent leurs identités propres. Ce qui n’était qu’une boule en polystyrène et des piques en bambou devient une masse, un volume, un tissu. au départ d’un module unique dupliqué, elle parvient à créer une forme envahissante, une coulée, un flux. Un rassemblement tendre de curieux oursins s’enlacent, s’enchevêtrent. Chaque installation donne lieu à une version totalement différente de la pièce, qui occupe parfaitement l’espace dans lequel elle s’inscrit. L’artiste privilégie toutefois une sorte d’inconfort.
L’œuvre est en tension avec l’architecture, elle obstrue le passage et doit être frôlée.
Christophe Veys ».

Extrait du site de « INDISCIPLINES 09 ».

 

 


INDISCIPLINES 09
L'art dans la ville - 06 - INDISCIPLINES 09 - « SILO A LIVRES »


A propos de la photo 06 :

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« SILO A LIVRES »

Rue Biscarra
œuvre de Renate Buser.
« Renate Buser fait de la ville un véritable terrain d’expérimentation et s’intéresse plus particulièrement à l’architecture des bâtiments point de départ de ces interventions. Son intention est d’« ouvrir » ces bâtiments en jouant sur les espaces réels et les espaces imaginaires qu’elle crée grâce à des photographies de très grande taille, imprimées sur des bâches et posées sur les murs. Elle travaille généralement avec des images en noir et blanc ce qui renforce les structures, les volumes et évoque l’histoire, le souvenir d’un endroit.
« Le lieu a toujours eu une grande influence sur mon travail, qui s’intéresse toujours à la relation entre l’humain et le bâti. Mes expériences jouent avec les lignes et les qualités spécifiques d’un bâtiment, avec l’intérieur et l’extérieur, l’obscurité et la clarté. Le but, créer l’illusion d’« ouvrir » un bâtiment avec des moyens photographiques, la lumière et la perspective. avec ce jeu perpétuel, qui met en tension espaces réels et espaces photographiés, où le mouvement du piéton fait partie intégrante de l’œuvre, je cherche à transformer l’espace de la ville, décaler sa perception pour changer le regard sur le quotidien. »

Extrait du site de « INDISCIPLINES 09 ».

 

 


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